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Weekly Hits: Jeux vidéo & Nestlé, Novartis, Roche

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 26.04.2019

  • Thème 1: Jeux vidéo - L’enjeu : les joueurs
  • Thème 2: Nestlé, Novartis, Roche - Pleins feux sur un trio de poids lourds

Jeux vidéo
L’enjeu : les joueurs

Le « gaming », marché en pleine croissance, attire de plus en plus de joueurs, mais aussi d’acteurs. En effet, si nombre d’utilisateurs ne cesse de croître, de plus en plus d’entreprises veulent, de leur côté, obtenir leur part de ce gâteau qui se chiffre en milliards. Ainsi, Google envisage de lancer un propre service de streaming pour les jeux, qui devrait démarrer à la fin de l’année. Le géant du logiciel Microsoft, qui a déjà une console de jeux dans sa gamme avec la Xbox, songe également au streaming. (Source : SZ, article de presse, 20.03.2019) Netflix est déjà une étape plus loin, puisque le groupe américain offre la possibilité à ses utilisateurs de joueur à « Minecraft » notamment. Vu les récents développements, le «gaming» devrait aussi rester au centre de l’intérêt des investisseurs. Avec le PERLES sur le Gaming Industry Basket (symbole : GAMECU), les intéressés peuvent intégrer le secteur dans leur dépôt avec une large diversification. Si, en revanche, on attache de l’importance à une protection partielle conditionnelle, on peut avoir intérêt à opter pour le nouveau Early Redemption (ER) Worst of Kick-In GOAL (symbole : KDLODU) sur Activision Blizzard, Netflix et Nintendo. La barrière est à un niveau très bas (50,00%), contrairement au coupon, qui est de 14,25% par an.

Le secteur du jeu utilise de plus en plus de nouvelles technologies pour attirer encore davantage de joueurs. Songeons aux expériences intenses offertes par les lunettes de RV (réalité virtuelle) et les manettes de contrôle, ou encore à la possibilité de pouvoir jouer à peu près n’importe où. Le thème du streaming, qui consiste à ne plus proposer les jeux à l’achat mais à l’utilisation sur une plateforme spécifique telle qu’une télévision connectée ou un navigateur Internet, est relativement nouveau. Cela devrait annoncer la prochaine génération de jeux. Il n’est dès lors pas surprenant que les grands acteurs de la scène tech souhaite avoir d’emblée un pied dans cette tendance. Google a baptisé sa plateforme de gaming «Stadia» et le concepteur de puces Nvidia, «Geforce Now». Pour sa part, Microsoft aimerait proposer son service de streaming en tant qu’extension de son abonnement de gaming « Game Pass ». (Source: SZ, article de presse, 20.03.2019)

En 2018 déjà, le service de vidéo en ligne Netflix a publié son premier jeu, entièrement utilisable avec la télécommande via le service de streaming. Le streaming dans le cloud est appelé à jouer un rôle déterminant, car cela doit permettre un fonctionnement parfaitement fluide. Un autre marché à forte croissance devrait ainsi s’ouvrir. Selon les estimations de Zion, le marché mondial des jeux dans le cloud devrait passer d’environ 802 millions de dollars en valeur en 2017 à 6,94 milliards de dollars en 2026. Cela représente une croissance de 27,2% par an en moyenne (source: Zion Market Research, Cloud Gaming Market Report, mars 2019).
Les compétitions de jeux informatiques – on parle d’e-sports dans le jargon – constituent un autre moteur de croissance. Ces compétitions attirent des millions de spectateurs devant leur écran partout dans le monde. Quelque 400 millions l’an dernier en l’occurrence. Selon les prévisions de Newzoo, les e-sports devraient franchir une étape importante cette année et franchir pour la première fois la barre du milliard de chiffre d’affaires. D’après les calculs de ce spécialiste des études de marché, les recettes du secteur devraient s’élever à 1,1 milliard de dollars, soit une augmentation de 26,7% par rapport à l’année précédente. (Source : Newzoo, article de presse, 12.02.2019)

Opportunités: le PERLES (symbole : GAMECU) sur le Gaming Industry Basket permet de participer à l’identique à la branche, sous déduction d’une commission de 0,50% par an. Le panier d’actions se compose de 13 titres internationaux. Vous trouverez de plus amples informations sous https://keyinvest-ch.ubs.com/gaming-industry. Un investissement avec protection partielle est possible sur Activision Blizzard, Netflix et Nintendo avec le nouveau ER Worst of Kick-In GOAL (symbole: KDLODU). Ce produit, d’une durée maximale de deux ans, offre une marge de sécurité confortable de 50% ainsi qu’une opportunité de rendement attractive de 14,25% par an.

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Avec un PERLES, dès que le panier sous-jacent tombe en-dessous du prix d’entrée, des pertes se produisent. Si, pendant la durée de l’investissement, un des sous-jacents du Kick-In GOAL atteint une fois le niveau de sa barrière («Kick-In Level») ou descend en dessous, et que la fonction Early Redemption ne s’applique pas, le montant remboursé en espèces à maturité par amortissement est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Netease vs. Take-Two Interactive vs. Zynga (5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Les membres du Gaming Industry Basket Netease et Take-Two ont déclenché un véritable feu d’artifice boursier ces dernières années. Zynga, pour sa part, a certes eu quelques difficultés au lancement, mais le titre est également en phase de progression aujourd’hui.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 26.04.2019

Activision Blizzard vs. Netflix vs. Nintendo (5 ans, aux fins d’illustration uniquement données en %)¹

Les sous-jacents du nouveau ER Worst of Kick-In GOAL présentent tous une tendance nettement positive à un horizon de cinq ans. De nouveaux gains de cours ne sont pas nécessaires pour le produit.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 26.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

PERLES sur Gaming Industry Basket

Symbol GAMECU
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent MSCI Emerging Markets Net TR Index
Conversion ratio 1:1
Devise CHF
Frais de gestion 0.50% p.a.
Participation 100%
Echéance 13.02.2026
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 111.30/112.50
 

14.25% p.a. ER Worst of Kick-In GOAL sur Activision / Netflix / Nintendo

Symbol KDLODU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent Activision, Netflix, Nintendo
Devise USD
Rendement latéraux 14.25% p.a.
Strike Level 100%
Kick-In Level (Barrière) 50.00%
Echéance 30.04.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 30.04.2019, 15:00 h
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 26.04.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’655.67 Pt. 0.6%
SLI™ 1’515.00 Pt. 0.5%
S&P 500™ 2’927.25 Pt. 0.9%
Euro STOXX 50™ 3’502.63 Pt. 0.7%
S&P™ BRIC 40 4’397.43 Pt. -0.9%
CMCI™ Compos. 938.79 Pt. -0.1%
Gold (troy ounce) 1’279.40 USD 0.2%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 26.04.2019

Nestlé, Novartis, Roche
Pleins feux sur un trio de poids lourds

Avec une pondération d’environ 54%, Nestlé, Novartis et Roche donnent le ton dans l’indice SMI™. On ne s’étonnera dès lors pas de voir le public boursier accorder la plus grande attention à ce trio durant la saison actuelle des rapports. Tous trois ont déjà ouvert leurs livres et ont convaincu par leurs chiffres. Les deux géants pharmaceutiques ont présenté des informations particulièrement positives. Non seulement Novartis et Roche ont pu dépasser les attentes, mais en outre, les objectifs ont été légèrement revus à la hausse pour l’ensemble de l’exercice. (Thomson Reuters, article de presse, 17.04.2019) Néanmoins, depuis le début de l’année, les deux titres sont en retrait par rapport à l’ensemble du marché.¹ Avec le Callable Kick-In GOAL (symbole : KDLQDU) sur Nestlé, Novartis et Roche, il est possible d’obtenir un rendement attractif même durant un mouvement latéral. Le produit offre une opportunité de rendement de 5,00% avec une marge de sécurité de 35%.

Le titre le plus en verve du trio est Nestlé, avec une hausse de 20% depuis fin 2018.¹ La bonne performance boursière du groupe est liée à son excellente performance opérationnelle. Le plus grand fabricant mondial de produits alimentaires est parvenu à réaliser une croissance corrigée des effets exceptionnels de 3,4% au premier trimestre. Les analystes avaient, quant à eux, tablé sur une progression de 2,8%. Le groupe a profité de l’évolution favorable des affaires en Amérique du Nord et du Sud ainsi que de hausses des prix. Pour l’ensemble de l’exercice, Nestlé s’attend toujours à une croissance organique de plus de 3%. (Source : Thomson Reuters, article de presse, 18.04.2019)

Après une hausse corrigée des effets de change de son chiffre d’affaires de 8% au premier trimestre, Roche a même revu ses prévisions à la hausse. Cette année, les recettes devraient augmenter d’un pourcentage moyen à un chiffre ; jusqu’à présent, il avait été fait état d’un pourcentage faible à moyen à un chiffre. Pour sa part, Novartis a placé la barre un peu plus haut pour son bénéfice 2019 après un début d’année étonnamment porteur. Le groupe pharmaceutique table sur une hausse de son résultat opérationnel core proche de 10%, alors qu’il s’orientait dans ses prévisions vers un pourcentage moyen à élevé à un chiffre. (Source : Thomson Reuters, article de presse, 24.04.2019)

Opportunités: les investisseurs peuvent désormais mettre en portefeuille les trois poids lourds du SMI™ avec une seule et unique transaction. Et ce, avec une protection partielle conditionnelle qui plus est. Le Callable Kick-In GOAL (symbole : KDLQDU) proposé encore à la souscription jusqu’au 30 avril offre une marge de sécurité de 35%. Le coupon, versé trimestriellement, s’élève à 5,00% par an.

Risques: les Kick-In GOALS ne bénéficient d’aucune protection du capital. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents atteint une seule fois la barrière respective (« Kick-In Level ») ou est inférieur à celle-ci, et que la fonction d’Issuer-Callable ne s’applique pas, le montant remboursé à l’échéance repose sur la livraison d’une quantité définie – établie sur la base du ratio de souscription – du sous-jacent présentant l’évolution la moins favorable (base Strike), au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon. Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

OC Oerlikon vs. Sulzer vs. VAT Group depuis IPO VAT Group 14.04.2016
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 26.04.2019

5.00% p.a. Callable Worst of Kick-In GOAL sur Nestlé / Novartis / Roche

Symbol KDLQDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230, Callable
Sous-jacent Nestlé, Novartis, Roche
Devise CHF
Coupon 5.00% p.a.
Strike Level 100%
Kick-In Level (Barrière) 65.00%
Echéance 03.05.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 30.04.2019, 15:00 h
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 26.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

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Weekly Hits: Jeux vidéo & Nestlé, Novartis, Roche2019-04-26T11:47:40+02:00

Die Gewinnsträhne hält an

KeyInvest Blog

23. April 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Die Gewinnsträhne hält an

In der Vor-Osterwoche blieb das Umfeld für Aktien weiterhin günstig. Sowohl von konjunktureller als auch von unternehmerischer Seite war die Nachrichtenlage positiv. Für eine faustdicke Überraschung sorgte China. Die weltweit zweitgrösste Volkswirtschaft expandierte im ersten Quartal um 6.4 Prozent und damit etwas schneller als von Ökonomen erwartet. Auch die Industrie-Produktion zog im März erstaunlich stark um 8.5 Prozent zum Vorjahresmonat an. Das war der höchste Anstieg seit mehr als viereinhalb Jahren. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 17.04.2019)

Überraschend starke Schweizer Schwergewichte

Für Verblüffung sorgten auch die beiden heimischen Schwergewichte Nestlé und Roche – und das ebenfalls im positiven Sinne. Aufgrund anziehender Preise und florierender Geschäfte in Amerika und Asien zog das um Sondereffekte bereinigte organische Wachstum von Nestlé von Januar bis März um 3.4 Prozent an. Die Analystenzunft hatte dagegen nur ein durchschnittliches Plus von 2.8 Prozent erwartet. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 18.04.2019)

Während der weltgrösste Nahrungsmittelhersteller seine Gesamtjahresprognose, welche einen Umsatzzuwachs von drei Prozent vorsieht, „nur“ bestätigte, schraubte Roche bei seiner Bilanzvorlage die Ziele leicht nach oben. Der Pharmariese möchte die Erlöse im laufenden Jahr um einen mittleren einstelligen Prozentbetrag steigern, bisher war von einem niedrigen bis mittleren einstelligen Prozentbereich die Rede. Der Gewinn soll sich proportional zum Umsatz entwickeln. Im ersten Quartal erzielte der weltweit führende Krebsmittelhersteller Erlöse in Höhe von 14.8 Milliarden Franken und damit vier Prozent mehr als Analysten auf der Rechnung hatten. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 17.04.2019)

Der Finanzsektor im Fokus

Auch in Übersee setzte sich die Serie an positiven Bilanzüberraschungen fort. Mittlerweile haben 15 Prozent der S&P 500-Mitglieder ihre Zahlenkränze veröffentlicht und dabei 78 Prozent beim Ergebnis und 53 Prozent beim Umsatz die Erwartungen übertroffen. Am besten schnitt in der vergangenen Woche der Sektor „Communication Services“ ab. Dies war vor allem Netflix zu verdanken, die einen Gewinn je Aktie von 0.76 US-Dollar auswiesen. Die Wall Street hatte dagegen nur mit 0.58 US-Dollar gerechnet. Auch der Finanzsektor konnte erneut überzeugen: Nachdem JP Morgan Chase bereits in der Vorwoche mit einem Rekordgewinn auch sich aufmerksam machte, konnte in Folge auch die Bank of America (0.70 US-Dollar gegenüber erwarteten 0.66 US-Dollar), Goldman Sachs (5.71 US-Dollar vs. 4.89 US-Dollar) und Morgan Stanley (1.33 US-Dollar vs. 1.17 US-Dollar) die Prognosen beim Ergebnis je Aktie jeweils deutlich übertreffen. (Quelle: Factset, Earnings Insight, 18.04.2019).

Wer sich die US-Banken ins Depot holen möchte, kann einen Blick auf den Early Redemption Kick-In GOAL (Symbol: KCODDU) werfen. Das Produkt lautet auf die Bank of America, Goldman Sachs und JP Morgan Chase stellt eine Renditechance von 10.4 Prozent p.a. in Aussicht. Kursavancen sind dazu nicht von Nöten, es reicht, wenn die Basiswerte ihre Barrieren bis zum Laufzeitende unversehrt lassen. Aktuell weist die Aktie von Goldman Sachs mit 33.2 Prozent den geringsten Abstand zum Kick-In-Level auf.

In der neuen Woche kommt nun auch in den europäischen Finanzsektor Schwung. So wird unter anderem die Deutsche Bank ihre Bücher öffnen. Analysten gehen im Investmentbanking von einem Einbruch der Erträge von 3.85 auf 3.3 Milliarden Euro aus. Allerdings warten die Marktteilnehmer nicht nur auf die nackten Zahlen der Deutschen Bank, vielmehr erhoffen sie sich Neuigkeiten bezüglich der Fusionsbemühungen mit der Commerzbank. Noch bevor die Frankfurter am Freitag vor das Mikro treten, wird hierzulande die Credit Suisse am Mittwoch ihre Bilanz präsentieren. Der Durchschnitt der Analysten erwartet Umsätze von 5.25 Milliarden Franken, ein Rückgang von 6.8 Prozent im Vergleich zur Vorjahresperiode. Der Nettogewinn wird bei 692 Millionen Franken erwartet, was in etwa der Höhe auf 2018 entspricht. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 18.04.2019)

Die Zahlenflut hält an

Mit Novartis wird auch noch ein Schwergewicht im SMI in dieser Woche Einblick in den Geschäftverlauf geben. Exklusive Alcon, geht der Konsens von einem Umsatz von 10.88 Milliarden Franken aus, 0.31 Prozent weniger als im Vorjahr. Der Kerngewinn je Aktie soll 1.19 Franken erreichen, was einen um rund sieben Prozent niedrigeren Wert entspricht. Bei den Medikamentenerlösen wird vor allem dem Herzmittel Entresto Potenzial eingeräumt. Dessen Verkäufe sollen sich um 80 Prozent auf 79 Millionen Franken erhöhen. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 17.04.2019)

Halten die positiven Meldungen aus den Unternehmen an, könnte das den Kursen eine weitere Unterstützung bieten. In der Woche vor Ostern zog der SMI um 0.9 Prozent an. Seit Jahresbeginn summiert sich das Kursplus auf 13.5 Prozent. Der S&P 500 liegt sogar 15.9 Prozent vorne.* Neben den Bilanzen steht auch in der neuen Woche das Bruttoinlandsprodukt in den USA im Fokus, das am Freitag veröffentlicht wird. Einen Tag zuvor werden die Auftragseingänge langlebiger Güter bereits einen Hinweis geben, wie es um die wirtschaftliche Verfassung der USA bestellt ist.


Bank of America vs. Goldman Sachs vs. JP Morgan Chase (5 Jahre, nur zu illustrativen Zwecken, Angaben in %)*

Stand: 23.04.2019; Quelle: Thomson Reuters

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Wichtige Termine

Datum Uhrzeit Unternehmen
23.04.2019 13:30 Twitter, 1. Quartal
23.04.2019 22:15 Ebay, 1. Quartal
24.04.2019 Tesla, 1. Quartal
24.04.2019 Novartis, 1. Quartal
24.04.2019 07:00 Credit Suisse, 1. Quartal
24.04.2019 07:00 SAP, 1. Quartal
24.04.2019 22:00 Microsoft, 3. Quartal
25.04.2019 Kuehne+Nagel, 1. Quartal
25.04.2019 Bristol Myers Squibb, 1. Quartal
25.04.2019 Starbucks, 1. Quartal
25.04.2019 07:00 Nokia, 1. Quartal
25.04.2019 09:00 Nintendo, Jahreszahlen
25.04.2019 22:00 Amazon, 1. Quartal
25.04.2019 22:05 Intel, 1. Quartal
26.04.2019 15:00 Schindler, 1. Quartal
26.04.2019 07:00 Deutsche Bank, 1. Quartal
26.04.2019 07:30 Renault, 1. Quartal
26.04.2019 08:00 Daimler, 1. Quartal

Stand: 23.04.2019; Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Das „Goldlöckchen“ ist zurück

An den ersten drei Handelstagen im Februar war an den Börsen einiges geboten. Zu Beginn des Monats blickten die Investoren gebannt nach Washington D.C. Dort hat die US-Notenbank ihren jüngsten geldpolitischen Beschluss veröffentlicht.

Überraschendes Signal aus dem hohen Norden

Um einschätzen zu können, in welcher Verfassung die Weltwirtschaft ist und wie sich die Märkte in Zukunft verhalten werden, richtet das Gros der Investoren ihren Blick in der Regel auf die USA.

Ein wahrer Luxus

Das «R»-Wort machte zuletzt an den Kapitalmärkten wieder einmal die Runde. Nach einem starken Start in das Börsenjahr kam verstärkt die Diskussion um eine drohende Rezession in wichtigen Wirtschaftsräumen auf. Enttäuschende Unternehmensberichte und verhaltene Ausblicke liessen die Kurse in der vergangenen Woche zunächst absacken.

Die Gewinnsträhne hält an2019-04-23T13:46:25+02:00

Die Aufmerksamkeit gehört wieder den Unternehmen

KeyInvest Blog

15. April 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Die Aufmerksamkeit gehört wieder den Unternehmen

Haarscharf sind die Kapitalmärkte vergangene Woche an möglichen Kurskapriolen vorbeigeschrammt. Sozusagen in letzter Sekunde wendete die EU das Brexit-Chaos ab – zumindest vorerst. Die Staatschefs gewährten der britischen Premierministerin Theresa May einen weiteren Aufschub. Nun hat das Vereinigte Königreich bis zum 31. Oktober Zeit, eine Lösung zu finden, die EU auf eine geordnete Weise zu verlassen.

Folglich können Anleger das Thema erstmal aus ihrer Prioritätenliste streichen. Nicht aber den Handelsstreit zwischen USA und China. Dieser ist, auch wenn es zuletzt Anzeichen einer Entspannung gab, noch nicht beigelegt. Auf der anderen Seite gewinnt das Säbelrasseln zwischen den USA und der EU gerade an Brisanz. Washington möchte Vergeltung wegen EU-Subventionen für den europäischen Flugzeugbauer Airbus. Dazu wurde eine vorläufige Liste mit Produkten wie zum Beispiel Flugzeuge und -teile, Milchprodukte oder auch Wein vorgelegt, die mit Zöllen im Wert von elf Milliarden US-Dollar belegt werden könnten. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 09.04.2019) Allerdings wirft auch Brüssel den USA illegale Beihilfen für den Airbus-Rivalen Boeing vor. Diplomaten zufolge hat die Europäische Kommission ebenfalls eine Reihe von US-Gütern im Auge, denen sie Abgaben aufbrummen könnte. Diese Liste wird voraussichtlich am Mittwoch veröffentlicht. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 12.04.2019)

Positiver Start in die Berichtssaison

Vorgelegt werden in der kommenden Woche auch jede Menge Unternehmensbilanzen, denn der Startschuss in die Berichtssaison zum ersten Quartal ist bereits gefallen. Hierzulande haben Givaudan und Sika die Marschroute vorgegeben. Der Aromen- und Dufthersteller steigerte im ersten Quartal den Umsatz um 16.6 Prozent auf 1.39 Milliarden Franken, Analysten hatten laut der Nachrichtenagentur Reuters im Schnitt lediglich ein Plus von 15.1 Prozent auf der Rechnung. Auch der Bauchemiekonzern Sika lag mit seinem Umsatzwachstum leicht über den Erwartungen.

In Übersee ist der Start in die Zahlensaison ebenfalls geglückt. Einer der ersten Grosskonzerne, der seine Bücher öffnete, war JP Morgan. Die grösste Bank des Landes erzielte von Januar bis März einen Rekordgewinn von 9.2 Milliarden US-Dollar. Das entspricht einem Plus von fünf Prozent im Vergleich zum Vorjahr. Angeführt von JP Morgan und Wells Fargo hat der Finanzsektor bis dato in der aktuellen Berichtssaison an der Wall Street die höchste positive Überraschungsquote. (Quelle: Factset, Earnings Insight, 12.04.2019)

Gewinne im Rückwärtsgang

Zwar haben erst sechs Prozent der S&P 500-Unternehmen Zahlen für das erste Quartal 2019 vorgelegt, doch können sich die Ergebnisse durchaus sehen lassen. 83 Prozent der Berichte brachten eine positive Gewinnüberraschung, 59 Prozent eine positive Umsatzüberraschung. Dennoch stehen die Zeichen auf Reduktion. Aktuell wird für den S&P 500 ein Gewinnrückgang von 4.3 Prozent im ersten Quartal erwartet. Sollte es tatsächlich zu einem Minus kommen, wäre es der erste Ergebnisrückgang des Index gegenüber dem Vorjahr seit dem zweiten Quartal 2016. Damals betrug das Minus 3.2 Prozent. (Quelle: Factset, Earnings Insight, 12.04.2019)

Die vom Datenlieferanten Factset zusammengetragenen Analystenschätzungen für den S&P 500 zeigen, dass auch im zweiten Quartal noch mit einem kleinen Gewinnschwund gerechnet werden muss. Erst in der zweiten Hälfte sollen die US-Konzerne den Prognosen zufolge wieder mehr verdienen. Aufsummiert ergibt sich so für das Gesamtjahr 2019 ein Plus von 3.4 Prozent. (siehe Grafik)

Gewichtige Termine

Die entscheidenden Impulse in der kurzen Börsenwoche bis Ostern dürften von den Unternehmenszahlen kommen. Denn diese werden nun zeigen, wie sich die abkühlende Konjunktur und der weltweite Handelsstreit auf die Geschäfte auswirken. Besonderes Augenmerk liegt auf dem Aluminiumriesen Alcoa, der am Mittwoch seinen Quartalsabschluss veröffentlichen wird. Das Unternehmen gilt als Indikator für die gesamte US-Wirtschaft. Aber auch hierzulande wird es spannend. Am Mittwoch und Donnerstag werden die beiden SMI-Schwergewichte Roche und Nestlé über ihren Jahresauftakt berichten.

Aus der krisengeschüttelten Autobranche werden zwar noch keine Bilanzzahlen erwartet, dennoch wird der Sektor in der laufenden Woche im Fokus stehen. Am 16. April öffnet die Shanghai Motorshow ihr Pforten. Dort wird beispielsweise der französische Autobauer Renault sein erstes Elektrofahrzeug speziell für China vorstellen, BMW seine Langversion der neuen 3er-Reihe und der aufstrebende chinesische Elektroautobauer Nio möchte seine Modellpalette weiter ausbauen und zieht das Tuch von einer neuen SUV-Coupé-Studie.

Erwartetes Gewinnwachstum S&P 500

Quelle: Factset, 12.04.2019

Wichtige Unternehmenstermine

Datum Zeit Unternehmen
15.04.2019 14:00 Citigroup, 1. Quartal
16.04.2019 Adecco, Generalversammlung
16.04.2019 IBM, 1. Quartal
16.04.2019 17:45 L’Oreal, 1. Quartal
16.04.2019 22:00 Netflix, 1. Quartal
17.04.2019 Roche, 1. Quartal
17.04.2019 Danone, 1. Quartal
17.04.2019 Panalpina, 1. Quartal
17.04.2019 Swiss Re, Generalversammlung
17.04.2019 ASML, 1. Quartal
17.04.2019 22:30 Alcoa, 1. Quartal
18.04.2019 Nestlé, 1. Quartal
18.04.2019 Lonza, Generalversammlung
18.04.2019 13:30 American Express, 1. Quartal
18.04.2019 15:00 Schlumberger, 1. Quartal

Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Das „Goldlöckchen“ ist zurück

An den ersten drei Handelstagen im Februar war an den Börsen einiges geboten. Zu Beginn des Monats blickten die Investoren gebannt nach Washington D.C. Dort hat die US-Notenbank ihren jüngsten geldpolitischen Beschluss veröffentlicht.

Überraschendes Signal aus dem hohen Norden

Um einschätzen zu können, in welcher Verfassung die Weltwirtschaft ist und wie sich die Märkte in Zukunft verhalten werden, richtet das Gros der Investoren ihren Blick in der Regel auf die USA.

Ein wahrer Luxus

Das «R»-Wort machte zuletzt an den Kapitalmärkten wieder einmal die Runde. Nach einem starken Start in das Börsenjahr kam verstärkt die Diskussion um eine drohende Rezession in wichtigen Wirtschaftsräumen auf. Enttäuschende Unternehmensberichte und verhaltene Ausblicke liessen die Kurse in der vergangenen Woche zunächst absacken.

Die Aufmerksamkeit gehört wieder den Unternehmen2019-04-15T11:04:01+02:00

Weekly Hits: Marchés émergents, OC Oerlikon, Sulzer & VAT

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 12.04.2019

  • Thème 1: Marchés émergents - Des signaux encourageants
  • Thème 2: OC Oerlikon / Sulzer / VAT - Des valeurs secondaires en plein essor

Zone euro
Mario laisse le robinet monétaire ouvert

Le conflit douanier entre les États-Unis et la Chine tient les places boursières mondiales en haleine. Mais l’espoir renaît depuis peu, le président américain Donald Trump pense même qu’il serait possible de trouver rapidement un accord. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 06.04.2019) Cela a également permis d’apaiser les tensions sur les marchés émergents (EM) qui sont en outre soutenus par la politique des taux d’intérêt américaine. En mars, la Fed a exclu d’autres relèvements de taux pour l’instant. Un point crucial car de nombreuses nations émergentes se financent traditionnellement en dollars américains et les coûts des intérêts grimpent si les taux augmentent. L’Open End PERLES (symbole : MSCEMU ) propose une participation totale – après déduction d’une commission de 0,90% p.a. – au MSCI Emerging Markets Net TR Index. Il est également possible d’investir de manière diversifiée dans les États BRIC avec une protection partielle. L’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : ENAMIU) se base sur le Hang Seng China Enterprises Index, le Russian Depositary Index USD (RDX), le Wisdom Tree India Earnings ainsi que sur l’iShares MSCI Brazil Capped.

Si les échanges entre Pékin et Washington ont dernièrement pris un ton plus conciliant, on observe également une embellie conjoncturelle en Chine. À titre d’exemple, l’indice des directeurs d’achat est contre toute attente passé de 49,9 en février à 50,8 points en mars. Il atteint ainsi son plus haut depuis huit mois mais il repasse surtout au-dessus du seuil de croissance de 50 points. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 01.04.2019) Pour soutenir encore davantage l’économie, Pékin a baissé la taxe sur la valeur ajoutée de 16% à 13% le 1er avril. En termes de croissance, son voisin l’Inde fait preuve d’un plus grand dynamisme encore. Le sous-continent a enregistré une hausse de son PIB de 7,3% en 2018 contre 6,6% pour la Chine.

Selon les prévisions du FMI, l’Inde devrait conserver son avance en 2019. Le taux de croissance devrait ressortir à 7,4% en Inde et « seulement » à 6,2% en Chine. À court terme, l’Inde est cependant placée sous le signe des élections parlementaires qui se tiendront du 11 au 19 mai. Le Premier Ministre Narendra Modi est en tête des derniers sondages. En cas de victoire, la coalition gouvernementale souhaite relancer la conjoncture avec un programme d’infrastructures d’un montant supérieur à 1,4 milliard de dollars américains (Source : Epoch Times, revue de presse, 08.04.2019).
Le marché des capitaux semble satisfait du gouvernement indien puisque les cours grimpent fermement depuis des années. L’indice brésilien Bovespa n’est pas en reste dans la course vers le sommet puisqu’il a gagné plus de 10% depuis que le nouveau président Jair Bolsonaro a prêté serment fin 2018. Les actions russes connaissent également un regain de popularité. Malgré les menaces persistantes de sanctions émises par les pays occidentaux, le RDX a pris 16% depuis le 1er janvier, atteignant ainsi un nouveau record annuel.¹

Opportunités: en fonction de leur propension au risque, les investisseurs peuvent investir dans les EM avec divers produits. L’Open End PERLES (symbole : MSCEMU ) sur le MSCI Emerging Markets Net TR Index propose une participation à l’identique, dividendes sur une base nette compris. Une commission de 0,90% p.a. s’applique en contrepartie. Ceux qui ne veulent pas renoncer à une marge de sécurité doivent se tourner vers l’ER Kick-In GOAL (symbole : ENAMIU). Les barrières des sous-jacents HSCE, RDX, Wisdom Tree India Earnings et iShares MSCI Brazil Capped sont toutes éloignées du niveau de cours actuel par une marge de plus de 48%. L’opportunité de rendement s’élève à 10,78% p.a.

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Avec un PERLES, dès que l’indice sous-jacent tombe en-dessous du prix d’entrée, des pertes se produisent. Si, pendant la durée de l’investissement, un des sous-jacents du Kick-In GOAL atteint une fois le niveau de sa barrière («Kick-In Level») ou descend en dessous, et que la fonction Early Redemption ne s’applique pas, le montant remboursé en espèces à maturité par amortissement est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du quatuor (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

MSCI Emerging Markets Net TR Index (5 ans)¹

Les pays émergents fêtent leur retour en 2019. Le MSCI Emerging Markets Net TR est parvenu à mettre un terme à sa tendance baissière à court terme et a rebondi de tout juste 13% depuis le début de l’année.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 10.04.2019

HSCE vs. RDX vs. W. T. India E. vs. iShares MSCI Brazil Cap.
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Les États BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) se sont heurtés à des difficultés sur les places boursières ces cinq dernières années. C’est l’Inde qui a enregistré les gains de cours les plus élevés pendant cette période.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 10.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

Open End PERLES sur MSCI Emerging Markets Net TR Index

Symbol MSCEMU
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent MSCI Emerging Markets Net TR Index
Conversion ratio 1:1
Devise USD
Frais de gestion 0.90% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask USD 502.00 / 507.50
 

10.20% p.a. ER Kick-In GOAL sur Hang Seng China Enterprises Index, Russian Depositary Index, Wisdom Tree India Earnings, iShares MSCI Brazil Capped

Symbol ENAMIU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent HSCE, RDX, W. T. India, iShares MSCI Brazil Capped
Devise USD
Rendement latéraux 5.42% / 10.79% p.a
Kick-In Level (Barrière) HSCE: HKD 6’036.50 (48.2%)
RDX: USD 752.96 (52.1)%
W. India: USD 13.21 (50.0%)
iShares MSCI Brazil: USD 21.71 (48.6%)
Echéance 07.04.2021
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask 98.55% / 99.55%
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 10.04.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’556.31 Pt. -0.1%
SLI™ 1’475.00 Pt. -0.2%
S&P 500™ 2’888.21 Pt. 0.5%
Euro STOXX 50™ 3’424.65 Pt. -0.3%
S&P™ BRIC 40 4’459.41 Pt. 1.8%
CMCI™ Compos. 948.29 Pt. 1.0%
Gold (troy ounce) 1’313.90 USD 1.4%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 10.04.2019

OC Oerlikon / Sulzer / VAT
Des valeurs secondaires en plein essor

Solutions de revêtement, pompes, vannes à vide – OC Oerlikon, Sulzer et VAT Group exercent leurs activités dans des domaines différents. En bourse, une solide performance à court terme unit le trio. Depuis le début de l’année, ces sociétés affichent des gains allant jusqu’à 30%.¹ Même si la dynamique d’OC Oerlikon, de Sulzer et de VAT Group devait marquer le pas au cours des 18 prochains mois, l’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KDJRDU) offre un rendement latéral possible de 7,75% p.a. à l’échéance, à condition qu’aucun sous-jacent ne tombe au niveau de la barrière basse de 55% du cours initial ou ne passe en dessous d’ici là.

OC Oerlikon a tenu son assemblée générale le 9 avril au KKL à Lucerne. La direction a rapporté une année record aux actionnaires. En 2018, le chiffre d’affaires et le résultat d’exploitation (niveau EBITDA) de l’entreprise ont progressé de 26% pour atteindre respectivement 2,61 milliards de francs et 406 millions de francs. Pour 2019, le CEO Roland Fischer vise une croissance de 4 à 6% dans le domaine des solutions de revêtement tandis qu’il souhaite conserver le niveau de chiffre d’affaires de 2018 pour le secteur moins développé des « Manmade Fibers ». Globalement, les recettes doivent dépasser 2,7 milliards de francs et la marge EBITDA grimper de 15,6% à plus de 16%. (Source : OC Oerlikon, communiqué de presse, 05.03.2019)

Sulzer a tenu avec succès son assemblée générale dès le 3 avril. Au cours de la semaine, l’entreprise présentera ses pompes de drainage et ses pompes à boue à haute performance au plus grand salon mondial des machines de construction (Bauma) à Munich. Les investisseurs découvriront le 17 avril la façon dont les affaires ont marché pendant le premier trimestre 2019 lorsque Sulzer publiera ses entrées de commandes. La veille, VAT Group communiquera son « Trading Update Q1 2019 ». Au dernier trimestre 2018, les entrées de commandes du spécialiste des vannes à vide avaient chuté de 27,6%. (Source : VAT Group, communiqué de presse, 08.03.2019) La Mid Cap a néanmoins rebondi plus ou moins en même temps que Sulzer et OC Oerlikon en début d’année.¹

Opportunités: quelle que soit l’évolution des trois actions, l’ER Kick-In GOAL (symbole : KDJRDU) servira un coupon de 7,75% p.a. De plus, OC Oerlikon, Sulzer et VAT Group commencent la période de 18 mois avec un écart de la barrière de 45%. En raison de la fonction Early Redemption, un remboursement anticipé assorti du coupon correspondant est possible. Condition : les trois sous-jacents doivent, à l’un des jours d’observation trimestriels (première date : 21.10.2019), atteindre ou dépasser le niveau du Strike.

Risques: il n’existe aucune protection du capital pour le produit présenté. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents cote une seule fois au niveau ou en dessous de sa barrière respective (Kick-In Level), et que, de plus, la fonction d’Early Redemption ne s’applique pas, le remboursement par amortissement en espèces à l’échéance est basé sur la performance la plus faible (sur la base du Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les certificats, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

OC Oerlikon vs. Sulzer vs. VAT Group depuis IPO VAT Group 14.04.2016
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 10.04.2019

7.75% p.a. ER Worst of Kick-In GOAL sur OC Oerlikon / Sulzer / VAT Group

Symbol KDJRDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent OC Oerlikon / Sulzer / VAT Group AG
Devise CHF
Coupon 7.75% p.a.
Kick-In Level (Barrière) 55%.
Echéance 19.10.2020
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 17. April 2019, 15:00 h
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 10.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

This material has been prepared by UBS AG or one of its affiliates («UBS»). This material is for distribution only as permitted by law. It is not prepared for the needs of any specific recipient. It is published solely for information and is not a solicitation or offer to buy or sell any securities or related financial instruments (“Instruments”). UBS makes no representation or warranty, either express or implied, on the completeness or reliability of the information contained in this document (“Information”) except that concerning UBS AG and its affiliates. The Information should not be regarded by recipients as a substitute for using their own judgment. Any opinions expressed in this material may change without notice and may be contrary to opinions expressed by other business areas of UBS as a result of using different assumptions or criteria. UBS is under no obligation to update the Information. UBS, its officers, employees or clients may have or have had an interest in the Instruments and may at any time transact in them. UBS may have or have had a relationship with entities referred to in the Information. Neither UBS nor any of its affiliates, or their officers or employees, accepts any liability for any loss arising from use of the Information. This presentation is not a basis for entering into a transaction. Any transaction between you and UBS will be subject to the detailed provisions of the term sheet, confirmation or electronic matching systems relating to that transaction. Clients wishing to effect transactions should contact their local sales representative.
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Weekly Hits: Marchés émergents, OC Oerlikon, Sulzer & VAT2019-04-12T08:53:53+02:00

Mehr Hoffen als Bangen

KeyInvest Blog

9. April 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Mehr Hoffen als Bangen

Zäumen wir diese Woche das Pferd mal von hinten auf. Die europäischen Aktien befinden sich nämlich in einer erstaunlich guten Phase. Der EURO STOXX 50 konnte sechs Handelstage in Folge mit einem Plus abschliessen, die längste Serie seit etwa mehr als einem halben Jahr. Der DAX schaffte sogar sieben Tagesgewinne hintereinander und erzielte zudem mit einem Kursanstieg von 4.2 Prozent den höchsten Wochengewinn seit rund zweieinhalb Jahren.*

USA vs. China – China vs. EU

Es waren vor allem die Entspannungssignale im Zollstreit zwischen den USA und China, welche die Kurse auf breiter Front haussieren liessen. Nach Ansicht der Politiker in Peking wurden bei dem letzten Treffen in Washington Fortschritte erzielt. Dem stimmte auch die USA zu, allerdings unter Vorbehalt. Eine Präsidialamtssprecherin erklärte, dass noch beträchtliche Arbeit vor den Unterhändlern liegt, um die noch ungelösten Streitpunkte beizulegen. US-Präsident Donald Trump zeigt sich dennoch zuversichtlich und hält ein Handelsabkommen mit dem Reich der Mitte in den kommenden vier Wochen für möglich. Die Verhandlungen sollen in der neuen Woche fortgesetzt werden. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 06.04.2019)

Europa wiederum wird am Dienstag Gespräche mit Peking führen. Die EU möchte mit China unter anderem ein Investitionsabkommen aushandeln und fordert das Land auf, unlautere Handelshemmnisse zu beseitigen. Diplomaten zufolge zeigt sich China im Vorfeld aber nicht besonders kompromissbereit.(Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 05.04.2019)

Ermutigende Signale

Aus wirtschaftlicher Sicht kam es sowohl in hiesigen Breitengraden als auch in Übersee zu freundlichen Tendenzen. So steigerte beispielsweise die deutsche Industrie, angetrieben durch den anhaltenden Bau-Boom, ihre Produktion im Februar unerwartet stark um 0.7 Prozent gegenüber dem Vormonat. Ökonomen hatten nur ein Plus von 0.5 Prozent auf dem Zettel. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 05.04.2019) Während die grösste europäische Volkswirtschaft die zuletzt aufkeimenden Rezessionssorgen etwas besänftigen konnte, bekam die USA in der vergangenen Woche Rückenwind vom Arbeitsmarkt. Der mit grosser Spannung erwartete Arbeitsmarktbericht fiel überraschend positiv aus. Im März wurden 196’000 neue Stellen geschaffen und damit deutlich mehr als im Monat zuvor. Im Februar waren es nur 33’000 neue Jobs. Auch konnten die Markterwartungen von 177’000 Stellen übertroffen werden. (Quelle: dpa-AFX, Medienbericht, 05.04.2019)

Never Ending Story

Der Abstimmungsmarathon in Grossbritannien setzt sich derweil weiter fort. Zwar konnten sich die Briten in der vergangenen Woche darauf einigen, bei der EU einen neuen Brexit-Aufschub bis zum 22. Mai zu beantragen. Doch gibt Europa nur dann grünes Licht, sollte der mit Premierministerin Theresa May ausgehandelte Brexit-Deal zuvor vom britischen Parlament abgesegnet werden. Ein äusserst schwieriges Unterfangen, schliesslich wurde die Vereinbarung bereits drei Mal abgelehnt. Voraussichtlich am Mittwoch wird die EU über den neuen Brexit-Aufschub beraten. Sollte es in den kommenden Tagen zu keiner Einigung kommen, droht am Freitag den 12. April ein ungeordneter Brexit – was letztendlich zu einem Chaos an der Börse führen könnte. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 05.04.2019)

EURO STOXX 50 vs. DAX (5 Jahre)*

*) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Wichtige Termine

Datum Zeit Land Indikator
09.04.2019 08:30 CH Arbeitslosenquote
09.04.2019 EU EU-Verhandlungen mit China
09.04.2019 CH Sika Umsatzzahlen 1. Quartal
10.04.2019 10:30 UK BIP 1. Quartal
10.04.2019 13:45 EZ EZB Zinssatzentscheidung
10.04.2019 14:30 US Verbraucherpreisindex
10.04.2019 EU EU-Beratung über Brexit-Aufschub
12.04.2019 CH Erster Handelstag Stadler Rail

Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Das „Goldlöckchen“ ist zurück

An den ersten drei Handelstagen im Februar war an den Börsen einiges geboten. Zu Beginn des Monats blickten die Investoren gebannt nach Washington D.C. Dort hat die US-Notenbank ihren jüngsten geldpolitischen Beschluss veröffentlicht.

Überraschendes Signal aus dem hohen Norden

Um einschätzen zu können, in welcher Verfassung die Weltwirtschaft ist und wie sich die Märkte in Zukunft verhalten werden, richtet das Gros der Investoren ihren Blick in der Regel auf die USA.

Ein wahrer Luxus

Das «R»-Wort machte zuletzt an den Kapitalmärkten wieder einmal die Runde. Nach einem starken Start in das Börsenjahr kam verstärkt die Diskussion um eine drohende Rezession in wichtigen Wirtschaftsräumen auf. Enttäuschende Unternehmensberichte und verhaltene Ausblicke liessen die Kurse in der vergangenen Woche zunächst absacken.

Mehr Hoffen als Bangen2019-04-09T06:49:47+02:00

Weekly Hits: Zone euro, Clariant, Givaudan & Lonza

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 05.04.2019

  • Thème 1: Zone euro - Mario laisse le robinet monétaire ouvert
  • Thème 2: Clariant, Givaudan, Lonza - Une branche faible, des titres solides

Zone euro
Mario laisse le robinet monétaire ouvert

Le ciel s’obscurcit au-dessus de l’Europe avec d’une part, la menace d’un conflit commercial entre les États-Unis et la Chine ainsi que l’Europe et d’autre part, le Brexit qui semble s’orienter encore un peu plus vers une sortie de la Grande-Bretagne de l’UE sans accord. Deux facteurs qui pourraient entraîner un nouveau ralentissement de la conjoncture. À titre d’exemple, l’indice des directeurs d’achat pour la zone euro a plongé de 0,6 point pour s’établir à 51,3 en mars, soit la troisième plus faible valeur enregistrée depuis quatre ans et demi. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 22.03.2019) Mais la BCE s’y est déjà préparée : à la surprise générale, les autorités monétaires ont reporté le relèvement des taux pour éviter une éventuelle récession. Certes, le bas niveau des taux directeurs pénalise les épargnants, mais il profite généralement aux marchés d’actions. En fonction de leur propension au risque, plusieurs possibilités s’offrent aux investisseurs qui souhaitent s’engager dans la zone euro : L’ETT (symbole : ETSX5) sur l’Euro STOXX 50™ propose une participation totale.² Ceux qui ne veulent pas renoncer à une marge de sécurité doivent se tourner vers l’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KBIUDU). Ce dernier se base sur les poids lourds de l’Euro STOXX50™ que sont Deutsche Post, LVMH et SAP, et laisse entrevoir une opportunité de rendement intéressante de 7,9%.

Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne qui termine son mandat le 31 octobre 2019, a surpris tout le monde le 27 mars dernier en annulant le relèvement de taux prévu pour cette année. La BCE souhaite s’en tenir à ses taux-clés actuels encore jusqu’à la fin de l’année au moins. Les taux directeurs stagnent à un plancher record de 0,0% depuis 2016. Si la conjoncture venait à se dégrader au-delà des craintes, la première hausse depuis l’année 2011 pourrait être reportée encore plus longtemps si nécessaire. « Nous ne manquons pas d’instruments pour accomplir notre mandat », a expliqué M. Draghi. Les autorités monétaires étudient par ailleurs les effets secondaires des taux durablement bas pour les banques. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 27.03.2019) Jusqu’où M. Draghi ouvrira-t-il encore le robinet monétaire? Cela dépendra de la suite des évènements. Les perspectives ne sont guère réjouissantes actuellement. Dans le cadre de prévisions établies conjointement, les instituts ifo, KOF de Zurich et Istat de Rome estiment que la croissance ne dépassera pas 0,2% dans la zone euro en ce début d’année. Au cours des trimestres à venir, le PIB ne devrait afficher qu’une faible hausse de 0,3%. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 02.04.2019).

L’Euro STOXX 50™ a malgré tout poursuivi sa tendance haussière entamée en début d’année dans l’espoir que le niveau bas des taux perdure. L’indice a gagné près de 13% depuis janvier. Les poids lourds européens Deutsche Post, LVMH et SAP ont progressé bien davantage. Le titre du géant du luxe mondial a même augmenté d’un tiers.¹ Des nouvelles réjouissantes ont accompagné cette envolée puisque le groupe français a en effet clôturé l’exercice passé avec de nouvelles valeurs record. De plus, Bernard Arnault, PDG et actionnaire majoritaire du groupe, s’est montré raisonnablement optimiste pour 2019. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 30.01.2019).

Opportunités: L’ER Kick-In GOAL (symbole : KBIUDU) sur Deutsche Post, LVMH et SAP s’en sort sans nouvelle hausse de cours. Si chacune des barrières du trio reste intacte – Deutsche Post affiche actuellement l’écart le plus faible avec 24,65% – le produit génèrera en à peine une année un rendement de 7,9%. L’ETT (symbole : ETSX5) sur l’Euro STOXX 50™ s’adresse
en revanche aux investisseurs qui souhaitent participer sans protection partielle aux opportunités qu’offrent les 50 plus gros titres de la zone euro.²

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Avec un ETT, dès que l’indice sous-jacent tombe en-dessous du prix d’entrée, des pertes se produisent. Si, pendant la durée de l’investissement, un des sous-jacents du Kick-In GOAL atteint une seule fois le niveau de sa barrière («Kick-In Level») ou descend en dessous, et que la fonction Early Redemption ne s’applique pas, le montant remboursé en espèces à maturité par amortissement est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Indice Euro STOXX 50™ (5 ans)¹

Les 50 plus grandes entreprises cotées en bourse de la zone euro ont récemment rebondi avec dynamisme. En revanche, l’Euro STOXX 50™ n’a finalement pas progressé au cours des cinq dernières années.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

Deutsche Post vs. LVMH vs. SAP
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Les Blue Chips européennes Deutsche Post, LVMH et SAP ont suivi un rythme différent depuis 2014. L’action LVMH, qui a plus que doublé, a enregistré les gains les plus élevés.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

ETT sur Euro STOXX 50™ Net Return Index

Symbol ETSX5
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Euro STOXX 50™ Net Return Index
Conversion ratio 10:1
Devise EUR
Frais de gestion 0.00% p.a.²
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask EUR 712.00 / 712.50
 

8.00% p.a. ER Worst of Kick-In GOAL sur Deutsche Post / LVMH / SAP

Symbol KBIUDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent Deutsche Post, LVMH, SAP
Devise EUR
Coupon 8.00% p.a.
Kick-In Level (Distance) Dt. Post: EUR 29.70 (25.18%)
LVMH: EUR 335.00 (50.97%)
SAP: EUR 103.70 (48.19%)
Rendement latéraux 7.38% / 7.15% p.a.
Echéance 03.04.2020
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask 99.60% / 100.60%
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’570.09 1.9%
SLI™ 1’477.30 3.1%
S&P 500™ 2’873.40 2.4%
Euro STOXX 50™ 3’435.56 3.4%
S&P™ BRIC 40 4’380.80 3.3%
CMCI™ Compos. 938.56 1.0%
Gold (troy ounce) 1’295.30 -1.6%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

Clariant, Givaudan, Lonza
Une branche faible, des titres solides

Le moral est parfois meilleur que le contexte : la fédération de l’industrie chimique allemande (VCI) a fini par revoir considérablement à la baisse ses prévisions pour 2019. Les experts tablent sur un repli de la production d’un bon 3,5% en Allemagne, la première économie d’Europe. En décembre 2018, on parlait pourtant encore d’une hausse modérée de 1,5%. (Source : VCI, communiqué de presse, 12.03.2019) Mais cela ne semble pas perturber les investisseurs plus que cela : le cours des entreprises suisses de produits chimiques spéciaux Clariant, Givaudan et Lonza grimpent depuis le début de l’année.¹ Si le trio marquait une pause maintenant, l’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KDIWDU) en souscription serait le produit adapté : si la barrière de 60% des cours initiaux reste intacte, le produit générera au plus tard dans deux ans le rendement maximum de 7% par an.

Lonza a connu une phase de nervosité en début d’année. Contre toute attente, le CEO Richard Ridinger a annoncé son départ et passé le relais le 1er mars 2019 à son successeur, Marc Funk, qui dirigeait auparavant la Division Pharma & Biotech. Mais cela ne change en rien la stratégie de croissance de l’entreprise. En 2019, son chiffre d’affaires devrait croître de 5 à 9% et sa marge EBITDA principale devrait « se maintenir à un niveau élevé ». La société a signé un rendement de 27,3% en 2018. Il devrait s’établir à 30% d’ici 2022. (Source : Lonza, communiqué de presse, 30.01.2019) Même l’entreprise de produits chimiques spéciaux Clariant en pleine restructuration a partagé des prévisions à moyen terme. Elle a annoncé une croissance supérieure à la moyenne ainsi qu’une hausse de la rentabilité d’ici 2021, sans toutefois indiquer de chiffres précis. (Source : Clariant, communiqué, 13.02.2019) De même, Givaudan a laissé entrevoir une croissance future grâce à des reprises. En 2018, le fabricant d’arômes et de parfums a enregistré une hausse de son chiffre d’affaires de 9,4% grâce à des acquisitions. (Source : Givaudan, communiqué de presse, 25.01.2019)

Opportunités: Le nouvel Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KDIWDU) permet d’investir avec une protection partielle dans le trio d’entreprises de chimie suisses que sont Clariant, Givaudan et Lonza. Le produit donne aux sous-jacents une marge de près de 40% à la baisse sans mettre en péril l’opportunité maximale de gain de 7% p.a. La durée maximale de deux ans peut être réduite d’un an tout au plus en raison de la fonction Early Redemption.

Risques: il n’existe aucune protection du capital pour le produit présenté. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents cote une seule fois au niveau ou en dessous de sa barrière respective (Kick-In Level), et que, de plus, la fonction d’Early Redemption ne s’applique pas, le remboursement par amortissement en espèces à l’échéance est basé sur la performance la plus faible (sur la base du Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les certificats, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Clariant vs. Givaudan vs. Lonza
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

7.00% p.a. ER Worst of Kick-In GOAL sur Clariant / Givaudan / Lonza

Symbol KDIWDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent Clariant, Givaudan, Lonza
Devise CHF
Coupon 7.00% p.a.
Kick-In Level (Barrière) 60.00%
Echéance 12.04.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 10.04.2019, 15:00 h
 

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Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

This material has been prepared by UBS AG or one of its affiliates («UBS»). This material is for distribution only as permitted by law. It is not prepared for the needs of any specific recipient. It is published solely for information and is not a solicitation or offer to buy or sell any securities or related financial instruments (“Instruments”). UBS makes no representation or warranty, either express or implied, on the completeness or reliability of the information contained in this document (“Information”) except that concerning UBS AG and its affiliates. The Information should not be regarded by recipients as a substitute for using their own judgment. Any opinions expressed in this material may change without notice and may be contrary to opinions expressed by other business areas of UBS as a result of using different assumptions or criteria. UBS is under no obligation to update the Information. UBS, its officers, employees or clients may have or have had an interest in the Instruments and may at any time transact in them. UBS may have or have had a relationship with entities referred to in the Information. Neither UBS nor any of its affiliates, or their officers or employees, accepts any liability for any loss arising from use of the Information. This presentation is not a basis for entering into a transaction. Any transaction between you and UBS will be subject to the detailed provisions of the term sheet, confirmation or electronic matching systems relating to that transaction. Clients wishing to effect transactions should contact their local sales representative.
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Weekly Hits: Zone euro, Clariant, Givaudan & Lonza2019-04-05T10:28:32+02:00

Und täglich grüsst das Murmeltier

KeyInvest Blog

1. April 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Und täglich grüsst das Murmeltier

Bei der Betrachtung des aktuellen politischen Geschehens entsteht der Eindruck, als würden sich die Ereignisse im Kreis drehen. Was den Brexit angeht, täuscht das Gefühl auch nicht. Selbst bei der dritten Abstimmung scheiterte Premierministerin Theresa May am britischen Parlament. Und das, obwohl am vergangenen Freitag nur über einen Teil des Vertragswerkes mit der EU abgestimmt wurde. Folglich bleibt der Ausgang weiter offen. Nach Ansicht der EU-Kommission wird allerdings ein ungeregelter Brexit des Landes am 12. April wahrscheinlicher. Um entsprechend vorbereitet zu sein, terminierte EU-Ratspräsident Donald Tusk einen EU-Sondergipfel am 10. April. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 29.03.2019)

Für May scheint es nun allmählich eng werden. Laut der Zeitung «Mail on Sunday» könnten die Abgeordneten am Dienstag in einer Stichwahl über Alternativ-Vorschläge gegen das Abkommen der Premierministerin abstimmen. Laut dem Medienbericht könnten dann bereits am Mittwoch Neuwahlen angesetzt werden.

Entspannung im Handelsstreit

Die Uhr tickt aber nicht nur in Grossbritannien, auch in den USA rückt die Möglichkeit eines Handelskriegs mit China näher. Nach zwei erneuten Verhandlungstagen in Peking zeigt sich die US-Regierung jedoch zuversichtlich, die Differenzen mit dem Reich der Mitte rechtzeitig beilegen zu können. US-Finanzminister Steven Mnuchin teilte im Anschluss mit, dass die Gespräche «konstruktiv» verlaufen seien. Des Weiteren hiess es in US-Regierungskreisen, China hätte Vorschläge gemacht, die weiter gingen als in der Vergangenheit. Die Entwicklungen gaben den Märkten Hoffung auf ein gütiges Abkommen zwischen den beiden grössten Wirtschaftsmächten der Welt. Der S&P 500 beendete die Woche mit einem Plus von 1.2 Prozent.* (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 29.03.2019)

Draghi macht keinen Aprilscherz

Für eine faustdicke Überraschung sorgte Mitte vergangener Woche EZB-Chef Mario Draghi. Der oberste Währungshüter der Eurozone machte auf einer Konferenz in Frankfurt eine plötzliche Umkehr bei der geldpolitischen Ausrichtung. Eigentlich wollte die Notenbank in diesem Jahr zum ersten Mal seit 2011 wieder die Leitsätze anheben. Daraus wird aber nun nichts. Aufgrund einer stärker als erwarteten Konjunktureintrübung verschiebt die EZB nun die Zinswende. Dem nicht genug: Draghi möchte möglicherweise auch die Banken entlasten, die seit 2014 Strafzinsen auf ihre Einlagen bei EZB zahlen müssen. Ins Gespräch gebracht wurde ein gestaffeltes System, wie es bereits in Japan verwendet wird. (Quelle: Die Welt, Medienbericht, 29.03.2019)

Dass diese Entwicklung nicht im Sinne der Schweizer Notenbank ist, ist kein Geheimnis. Die SNB setzt seit Jahren alles daran, dass der aus ihrer Sicht überbewertete Franken an Wert verliert, um somit der exportorientierten Wirtschaft unter die Arme zu greifen. Daher wundert die schnelle Reaktion der Notenbank nicht. «In diesem Umfeld bleiben sowohl der Negativzins als auch unsere Bereitschaft, bei Bedarf am Devisenmarkt zu intervenieren, notwendig», sagte SNB-Direktoriumsmitglied Andrea Mächler. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 28.03.2019) Mit entsprechenden Mini-Futures lässt sich sowohl auf eine Auf- als auch Abwertung des Devisenpaars EUR/CHF setzen. Beispielsweise gewinnt der Long Mini Future (Symbol: FCHAXU) an Wert, sollte sich der Euro wieder verteuern. Das Short-Pendant (Symbol: FCHOAU) ist dagegen auf eine weitere Aufwertung des Frankens ausgerichtet.

Starkes Quartal, unsichere Aussichten

Mit dem März endete auch das erste Quartal 2019. Trotz aller Widrigkeiten kann sich das Vierteljahr aus Sicht der Aktienmärkte sehen lassen. Der Euro STOXX 50 gewann 11.6 Prozent an Wert, der SMI 12.4 Prozent und der S&P 500 legte sogar um 13 Prozent zu. Ob sich diese Kursgewinne im zweiten Quartal einfach fortschreiben lassen, ist ungewiss. Denn so wie der März endete, wird es im April weitergehen. Alles dreht sich um die konjunkturelle Verfassung, denn zum einen steigen nach der Rede von Mario Draghi die Rezessionsängste, zum anderen bedroht ein «No Deal»-Brexit die Wirtschaft zusätzlich. Damit dürften auch in der neuen Woche die Konjunkturdaten ganz oben auf der Interessensskala der Börsianer stehen. Das Augenmerk liegt unter anderem auf den Stimmungsbarometern der europäischen Einkaufsmanager sowie den Arbeitsmarktdaten in den USA.

EUR/CHF (5 Jahre)

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Konjunkturtermine

Datum Zeit Land Indikator
01.04.2019 08:30 CH Einzelhandelsumsätze
01.04.2019 09:30 CH SWME Einkaufsmanagerindex
01.04.2019 10:00 EZ Einkaufsmanagerindex verarbeitendes Gewerbe
01.04.2019 11:00 EZ Verbraucherpreisindex
02.04.2019 08:30 CH Verbraucherpreisindex
02.04.2019 11:00 EZ Arbeitslosenquote
02.04.2019 14:30 US Auftragseingänge
03.04.2019 10:00 EZ Einkaufsmanagerindex Dienstleistungen
03.04.2019 15:45 US Markit PMI Gesamtindex
05.04.2019 14:30 US Arbeitslosenquote

Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Das „Goldlöckchen“ ist zurück

An den ersten drei Handelstagen im Februar war an den Börsen einiges geboten. Zu Beginn des Monats blickten die Investoren gebannt nach Washington D.C. Dort hat die US-Notenbank ihren jüngsten geldpolitischen Beschluss veröffentlicht.

Überraschendes Signal aus dem hohen Norden

Um einschätzen zu können, in welcher Verfassung die Weltwirtschaft ist und wie sich die Märkte in Zukunft verhalten werden, richtet das Gros der Investoren ihren Blick in der Regel auf die USA.

Ein wahrer Luxus

Das «R»-Wort machte zuletzt an den Kapitalmärkten wieder einmal die Runde. Nach einem starken Start in das Börsenjahr kam verstärkt die Diskussion um eine drohende Rezession in wichtigen Wirtschaftsräumen auf. Enttäuschende Unternehmensberichte und verhaltene Ausblicke liessen die Kurse in der vergangenen Woche zunächst absacken.

Und täglich grüsst das Murmeltier2019-04-01T13:46:44+02:00

Weekly Hits: Technologie financière & Swiss Derivative Awards

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 29.03.2019

  • Thème 1: Technologie financière - Une branche qui a le vent en poupe
  • Thème 2: Swiss Derivative Awards - Deux prix pour UBS

Technologie financière
Une branche qui a le vent en poupe

Alors qu’il manque encore quelques points au SMI™ pour renouer avec son plus haut historique de l’an passé, le Solactive FinTech 20 Total Return Index affiche de son côté une belle envolée. La variante en francs du baromètre enregistre déjà un gain supérieur à 20% depuis le début de l’année.¹ Une étude très récente confirme le vif intérêt que suscite cette nouvelle branche. Selon l’analyse « The Pulse of Fintech 2018 » réalisée par KPMG, les investissements mondiaux dans les start-ups de la technologie financière ont plus que doublé entre 2017 et 2018 en passant de 50,8 à 111,8 milliards de dollars américains. Les méga-transactions telles que l’investissement de Blackstone dans Refinitiv, le prestataire de données de marchés financiers, pour 17 milliards de dollars américains tirent le volume vers le haut. Avec les UBS PERLES sur le Solactive FinTech TR Index, les investisseurs peuvent s’engager de manière diversifiée dans le secteur. Le produit est disponible dans trois monnaies : franc suisse (symbole : FINTE), euro (symbole : FINTEE) et dollar américain (symbole : FINTEU).

Les activités de fusions & acquisitions ainsi que les cycles de financement mondiaux présentent des disparités régionales. Ainsi, tandis que les investissements dans la technologie financière ont presque triplé de 12,2 à 34,2 milliards de dollars américains en Europe, ils ont « seulement » doublé outre-Atlantique. Néanmoins, avec un volume de transactions de 52,5 milliards de dollars américains, les États-Unis mènent la danse dans ce domaine. En Europe, les principales transactions ont impliqué Worldplay qui a été rachetée au premier trimestre par Vantiv le spécialiste américain des cartes de crédit pour près de 13 milliards de dollars américains, mais surtout Nets, le prestataire de paiements. L’évolution du volume moyen des transactions de fusions & acquisitions montre bien que le montant des opérations flambe. En Europe, il est passé de 23,7 millions de dollars américains en 2017 à 62,5 millions de dollars américains en 2018. (Source : KPMG, « The Pulse of Fintech 2018 », 13.02.2019)

Le Solactive FinTech TR Index comporte un grand nombre d’entreprises très variées du secteur. Qu’il s’agisse de traitements des paiements, de systèmes de logiciels bancaires complets ou d’analyses de données financières, le baromètre se base sur 20 « Pure Players » différents du domaine de la technologie financière. Il inclut par exemple Adyen, une société néerlandaise ambitieuse dont les opérations sont en pleine expansion. Spécialisée dans les traitements de paiements numériques, Adyen est cotée en bourse depuis l’année dernière seulement mais la valeur de son titre a déjà presque triplé par rapport au cours d’émission.¹ En 2018, son bénéfice opérationnel a progressé de 83% et sa marge est passée de 49% à 52%. Mais cela ne suffit toujours pas à Adyen puisque la direction vise une marge bénéficiaire supérieure à 55% à long terme. (Source : Adyen, rapport financier, 27.02.2019)
L’indice de stratégie inclut aussi la société suisse Temenos. Ce fabricant de logiciels bancaires affiche également une forte croissance et ce, depuis plusieurs années déjà. Entre 2014 et 2018, son chiffre d’affaires et son EBITDA (résultat d’exploitation avant intérêts, impôts et amortissements) n’ont cessé de grimper. Pendant cette période, ses recettes ont augmenté de 79,4% et son EBITDA de 85,6%. Cette tendance positive devrait se poursuivre: pour 2019, Temenos prévoit d’accroître ses recettes de 16% à 19% et son bénéfice opérationnel de 18% environ. (Source : Temenos, rapport financier 2018, 25.03.2019)

Opportunités: le Solactive FinTech TR Index offre une possibilité d’investissement intéressante dans le secteur de la technologie financière en plein essor. Il est revu et adapté si nécessaire deux fois par an, en mars et en septembre, afin que le sous-jacent reste d’actualité. Les UBS Open End PERLES (symboles : FINTE, FINTEE, FINTEU) participent pleinement à l’évolution de l’indice de stratégie. Seule une commission de gestion de 0,75% p.a. est déduite. Étant donné qu’il s’agit d’un indice Total Return, les versements de dividendes des membres ne sont pas perdus car ils sont réinvestis nets dans l’indice.

Risques: les Open End PERLES ne bénéficient d’aucune protection du capital. En conséquence, une évolution négative des sous-jacents génère les pertes correspondantes pour le produit structuré. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Solactive FinTech TR Index depuis le 03.04.2015¹

Le Solactive FinTech TR Index a également dû payer son tribut à la correction de marché du quatrième trimestre 2018. Mais il s’est vivement repris : la variante en franc suisse a même atteint un nouveau plus haut.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

Temenos vs. SMIM™
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en%)¹

L’action Temenos n’a laissé aucune chance au SMIM™ ces cinq dernières années. Le cours de la Mid Cap suisse a plus que quadruplé pendant la période.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

Open End PERLES sur Solactive FinTech 20 Total Return Index (CHF)

Symbol FINTE
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive FinTech 20 Total Return Index
Conversion ratio 1.0108:1
Devise CHF
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 186.80 / 188.80
 

Open End PERLES sur Solactive FinTech 20 Total Return Index (USD)

Symbol FINTEU
SVSP Name Tracker Certifikat
SPVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive FinTech 20 Total Return Index
Conversion ratio 1:1.013685
Devise USD
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask USD 175.50 / 177.30
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’390.59 -0.8%
SLI™ 1’433.27 -1.7%
S&P 500™ 2’805.37 -0.7%
Euro STOXX 50™ 3’322.04 -1.5%
S&P™ BRIC 40 4’239.28 -3.1%
CMCI™ Compos. 928.97 -1.4%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

Swiss Derivative Awards
Deux prix pour UBS

La 14e édition des Swiss Derivative Awards s’est déroulée le 21 mars 2019 à Zurich. Au cours de la soirée, le jury a distingué cinq produits structurés et décerné la mention « Top Service » à quatre émetteurs. UBS a remporté l’un des trophées convoités dans chacune des deux catégories. Les membres du jury ont désigné le 100% Capital Protected Note (CPN) sur WTI Crude Oil (symbole : KBTVDU) « Meilleur produit de matières premières ». Ce produit jouit d’une protection totale du capital à l’échéance. En parallèle, le CPN participe, sur la base du Strike et également à l’échéance, à la hausse du cours du pétrole avec un taux de participation de 150%.

Selon Derivative Partners AG, l’organisateur de cette soirée des « Oscars du secteur des produits dérivés », 250 invités issus de l’industrie européenne des produits dérivés ont assisté aux Swiss Derivative Awards 2019 à l’AURA de Zurich. Tous étaient impatients de voir quelles solutions de placement le jury composé de quatre experts désignerait cette année « meilleurs produits structurés de Suisse ». Quatre émetteurs ont par ailleurs reçu la mention « Top Service » particulièrement convoitée puisqu’elle se fonde sur huit critères différents dont le Market Making, le Pricing, le site internet mais aussi un vote des investisseurs. UBS fait partie des quatre lauréats qui ont rempli l’ensemble des critères pour ce prix.

Jérôme Allet, Head UBS Public Distribution Switzerland, avait déjà reçu l’un des trophées prisés plus tôt dans la soirée pour le 100 % CPN sur WTI Crude Oil (symbole : KBTVDU) qui s’est imposé dans la catégorie « Meilleur produit de matières premières » malgré une concurrence féroce. Le jury a ainsi récompensé l’idée sous-tendant cette solution de placement lancée en 2018 selon laquelle une participation disproportionnée à la hausse du prix du pétrole est possible avec une protection totale du capital. En raison des craintes de surproduction circulant sur les marchés, le sous-jacent s’est considérablement replié au quatrième trimestre 2018, mais il a repris de la vigueur après la décision de l’OPEP et d’autres pays producteurs (OPEP+) en décembre dernier de réduire la production.¹

Opportunités: certes, le contrat à terme sur WTI arrivant prochainement à échéance n’atteint pas encore le Strike du CPN (66,22 dollars américains) mais le produit n’arrive à échéance qu’en juin 2022. Il reste donc assez de temps pour que la composante de participation entre en jeu: dès que le contrat à terme dépasse le niveau du Strike à l’échéance, le CPN participe aux gains de manière disproportionnée avec un taux de 150%. Si le WTI ne dépasse pas ou n’atteint pas la barre déterminante, la protection du capital s’applique. À l’échéance, le nominal est garanti à 100%.

Risques: la protection du capital n’entre en jeu qu’à la date d’échéance pour le CPN. Le produit peut subir des fluctuations de prix pendant la période. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

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WTI Crude Oil Future (USD / Barrel) 5 ans

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

100% Capital Protected Note sur WTI Crude Oil Future

Symbol KBTVDU
SVSP Name Capital Protection Certificate with Participation
SPVSP Code 1100
Sous-jacent WTI Crude Oil Future
Nominal USD 1’000
Protection du capital 100%
Participation 150%
Echéance 20.06.2022
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask 99.35% / 100.40%
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

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Weekly Hits: Technologie financière & Swiss Derivative Awards2019-03-29T10:53:17+01:00

Bremsspuren in Politik und Wirtschaft

KeyInvest Blog

25. März 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Bremsspuren in Politik und Wirtschaft

Nicht zu überhören war in der vergangenen Woche erneut das politische Getöse. Das entscheidende Signal kam dann aus London: Premierministerin Theresa May handelte mit den EU-Staats- und Regierungschefs eine Verschiebung des Brexit-Termins aus. Noch aber ist dieser Plan nicht in trockenen Tüchern, das britische Parlament muss noch zustimmen. Zwar gibt es dafür kein fixes Datum, fest steht aber, dass die Abstimmung noch diese Woche über die Bühne gehen soll. Kommt es zu einer Mehrheit, wird es eine Verschiebung des Brexit-Datums bis zum 22. Mai geben. Sollte das Unterhaus aber den Vertrag ablehnen, dauert die Verlängerung lediglich bis zum 12. April.

Die Autoindustrie im Fokus

Doch nicht nur die Politik stand – wie zuletzt so oft – vergangene Woche im Fokus, etwas Ablenkung kam von sportlicher Seite. Am 17. März startete im australischen Melbourne die 70. Saison der Formel-1-Weltmeisterschaft. Diese begann, wie die alte endete: Mercedes fährt vorne weg und die roten Renner mit gehörigem Abstand hinterher. Das ist deshalb so wunderlich, weil die Vorzeichen aus wirtschaftlicher Sicht komplett entgegengesetzt sind. Während die Mercedes-Mutter Daimler mit Gewinneinbrüchen ringt und sogar die Dividende kürzen musste, stehen die Zeichen bei Ferrari auf Wachstum. Der italienische Luxusautohersteller hob seine Dividende sogar um satte 45 Prozent auf 1.03 Euro an. Anders als die Konkurrenz rechnet Ferrari-Chef Louis Camilleri 2019 mit steigenden Erlösen und Profiten. (Quelle: Ferrari, Medienmitteilung, 26.02.2019)

Auf der Bilanzpressekonferenz bei BMW in der vergangenen Woche waren ganz andere Töne zu vernehmen. Konzernlenker Harald Krüger rechnet dieses Jahr erneut mit einem Gewinneinbruch. Belastet wird das Ergebnis vor allem durch hohe Investitionen in die Elektromobilität. Damit die Kosten im aktuellen Transformationsprozess der Branche nicht ausufern, bündeln die beiden Erzrivalen BMW und Daimler derzeit ihre Kräfte. Neben einer gemeinsamen Mobilitätsfirma für Carsharing haben die Kontrahenten jüngst auch die Absicht zur Kooperation beim Autonomen Fahren erklärt. Ebenfalls seine Zahlen offen legte vergangene Woche Porsche. Zwei Überraschungen hatte der Sportwagenhersteller parat: Zum einen konnte das Unternehmen den Gewinn steigern, zum anderen wurde die Beteiligung an VW für rund 400 Millionen Euro auf 53.1 Prozent ausgebaut. (Quelle: dpa-AFX, Medienbericht, 19.03.2019)

Investieren auf vier Rädern

Während die deutschen Premiummarken an der Börse derzeit das Nachsehen haben, fährt die Ferrari-Aktie einen heissen Reifen. Die Titel stehen sogar kurz vor einem neuen Rekordhoch. Davon ist BMW zwar weit weg, doch scheint die mittelfristige Abwärtsfahrt zumindest an Dynamik zu verlieren. Der Schock eines weiteren Ergebnisrückgangs sowie der Kürzung der Dividende sorgte bei der Aktie für keine grösseren Blessuren mehr.1 Möglicherweise ein guter Zeitpunkt, sich dem arg gebeutelten Sektor mit Renditeoptimierungsprodukten zu nähern. Interessant könnte zum Beispiel der Early Redemption Kick-In GOAL (Symbol: CARSEU) auf BMW, Daimler und VW sein. Das Produkt bietet aktuell eine Seitwärtsrendite von 13.0 Prozent p.a., der Teilschutz beträgt komfortable 37 Prozent. Ebenfalls ein Blick wert könnte das baugleiche Produkt auf Ferrari und Porsche (Symbol: KCBZDU) sein. Die Seitwärtsrendite von 12.4 Prozent p.a. wird durch einen aktuellen Risikopuffer von rund 66% Prozent geschützt.

USA vs. China

Doch zurück auf die politische Weltbühne. Neben der Eingans erwähnten Brexit-Abstimmung kommt es in dieser Woche noch zu einem zweiten zentralen Ereignis: Eine neue Runde bei den Handelsgesprächen zwischen den USA und China ist geplant. Im Vorfeld hatte bereits US-Präsident Donald Trump verkündet, dass die Verhandlungen gut liefen. Nun sollen US-Finanzminister Steven Mnuchin sowie der Handelsbeauftragte Robert Lighthizer am 28. März erneut nach Peking reisen. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 24.03.2019)

Wichtige Signale

Ein schnelles Ende des Zollstreits wünschen sich derzeit viele Börsianer, denn die Wirtschaft scheint sich rund um den Globus einzutrüben. Während der chinesische Volkskongress auf seiner jüngsten Jahrestagung das niedrige Wachstumsziel in Höhe von 6.0 bis 6.5 Prozent bestätigte, droht nun auch in den USA eine Verringerung des Tempos. Wie Ernst die Lage ist, zeigte sich im Zinsentscheid: Die Fed hatte am Mittwoch aufgrund der unsicheren Konjunkturaussichten weiteren Erhöhungen einen Riegel vorgeschoben. Nun sei eine grossartige Zeit, geduldig zu sein, sagte Fed-Chef Jerome Powell. Im Dezember 2018 war noch von zwei Erhöhungen die Rede. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 23.03.2019) Auch hierzulande sind keine steigenden Leitsätze zu erwarten. Die SNB bestätigte auf ihrer Sitzung am Donnertag ihre lockere Geldpolitik und belässt das Zielband für den Referenzzins Dreimonats-Libor bei -1.25% bis -0.25%. (Quelle: SNB, Medienmitteilung, 21.03.2019) Einen Eindruck, wie genau es um die US-Wirtschaft steht, werden Marktteilnehmer unter anderem durch die Veröffentlichung des Verbrauchervertrauens bekommen.

Ferrari vs. Porsche¹
(seit Ferrari-Notierungsaufnahme in Mailand am 4. Januar 2016)

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Konjunkturtermine

Datum Land Ereignis
26.03.2019 DE Gfk Verbrauchervertrauen
26.03.2019 US Verbrauchervertrauen Conference Board
27.03.2019 CH ZEW Umfrage Konjunkturerwartungen
27.03.2019 US Handelsbilanz
28.03.2019 EZ Geschäftsklimaindex
28.03.2019 US Konsumausgaben
29.03.2019 CH KOF Leitindikator
29.03.2019 EZ Verbraucherpreisindex
29.03.2019 US Uni Michigan Verbrauchervertrauen
29.03.2019 US Verkäufe neuer Häuser

Stand: 18.03.2019

Weitere Blogeinträge:

Das „Goldlöckchen“ ist zurück

An den ersten drei Handelstagen im Februar war an den Börsen einiges geboten. Zu Beginn des Monats blickten die Investoren gebannt nach Washington D.C. Dort hat die US-Notenbank ihren jüngsten geldpolitischen Beschluss veröffentlicht.

Überraschendes Signal aus dem hohen Norden

Um einschätzen zu können, in welcher Verfassung die Weltwirtschaft ist und wie sich die Märkte in Zukunft verhalten werden, richtet das Gros der Investoren ihren Blick in der Regel auf die USA.

Ein wahrer Luxus

Das «R»-Wort machte zuletzt an den Kapitalmärkten wieder einmal die Runde. Nach einem starken Start in das Börsenjahr kam verstärkt die Diskussion um eine drohende Rezession in wichtigen Wirtschaftsräumen auf. Enttäuschende Unternehmensberichte und verhaltene Ausblicke liessen die Kurse in der vergangenen Woche zunächst absacken.

Bremsspuren in Politik und Wirtschaft2019-03-25T11:19:22+01:00

Weekly Hits: Entreprises familiales, Apple & Netflix

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 22.03.2019

  • Thème 1: Entreprises familiales - La réussite dans les gènes
  • Thème 2: Apple/Netflix - L’innovation en marche

Entreprises familiales
La réussite dans les gènes

Souvent, une image quelque peu poussiéreuse colle aux entreprises familiales. À tort, car elles ne manquent pas d’esprit d’innovation, ainsi qu’en atteste l’exemple de Swatch : le groupe vient de faire entrer ses célèbres chronomètres dans l’ère du numérique et il leur suffit désormais de quelques secondes pour se transformer en moyen de paiement. Les entreprises familiales de grande envergure jouent également un rôle important à l’échelle mondiale. Au total, 19 groupes suisses sont ainsi réunis dans le nouveau « Global Family Business Index », une initiative portée conjointement par EY et l’Université de Saint-Gall. Les 500 entreprises qui composent ce baromètre forment l’univers d’actions de deux Open End PERLES, l’un sur le Solactive Swiss Family Owned Companies Index (symbole : FAMSUU) et l’autre sur le Solactive Global Family Owned Companies Index (symbole : FAMCHU). Après déduction de frais de gestion annuels de 0,75%, les deux Tracker Certificats reproduisent à l’identique l’évolution des cours de leur indice respectif.

EY et l’Université de Saint-Gall ont récemment mené une étude sur le degré de réussite des entreprises familiales au cours des dernières années. Il s’est avéré que le chiffre d’affaires total des 500 multinationales observées est passé de 13,6 à près de 15 milliards de dollars américains, soit une hausse de 9,9%, entre 2017 et 2019. À titre de comparaison, les membres de l’indice Fortune 500, qui regroupe les sociétés ayant le chiffre d’affaires le plus élevé dans le monde, affichent seulement un taux de croissance moyen de leur chiffre d’affaires de 8,6% pour cette période. La majorité des entreprises familiales sont en outre implantées en Europe, avec une part de 46%, et les entreprises européennes ont même vu leur nombre augmenter à 230 au lieu de 224 en 2017. L’Amérique du Nord occupe la deuxième place, mais les entreprises familiales de cette région ont perdu un point de pourcentage par rapport à la situation d’il y a deux ans, atteignant une part de 30%. (Source : EY, 2019, Global Family Business Index Report, 15.02.2019).

Même si les titres technologiques sont toujours plus nombreux à rejoindre le Family Business Index ces derniers temps, les biens de consommation, qui représentent actuellement 31%, dominent toujours le classement sectoriel. Le numéro un mondial est le détaillant américain Walmart, avec un chiffre d’affaires avoisinant 486 milliards de dollars, suivi par Volkswagen. Les Suisses ne sont toutefois pas en reste, avec notamment Roche, qui intègre le top 20. (Source : EY, 2019, Global Family Business Index Report, 15.02.2019). Le conglomérat pharmaceutique des familles Hoffmann et Oeri a récemment réussi à marquer des points également sur le plan opérationnel. En 2018, son chiffre d’affaires a progressé de 7% et son bénéfice d’exploitation s’est même amélioré de 14%. Les principaux moteurs de cette croissance ont été le nouveau médicament de traitement de la sclérose en plaques Ocrevus, ainsi que les anticancéreux Perjeta, Tecentriq et Alecensa. Cette tendance positive devrait par ailleurs se poursuivre en 2019. La direction escompte que les recettes s’accroissent d’un pourcentage faible à moyen à un chiffre.

Opportunités: les bons de jouissance de Roche sont repris à la fois dans le Solactive Swiss Family Owned Companies Index et dans la déclinaison mondiale de ce baromètre. Dans le premier, cette entreprise de santé est le poids lourd absolu. Avec les Open End PERLES sur le Solactive Swiss Family Owned Companies Index (symbole : FAMSUU) et sur le Solactive Global Family Owned Companies Index (symbole : FAMCHU), les investisseurs peuvent aisément intégrer cette stratégie de placement aux perspectives prometteuses dans leur dépôt. Ils profitent alors aussi des dividendes nets des membres, qui sont réinvestis dans l’indice respectif. En contrepartie, une commission de gestion de 0,75% p.a. est prélevée.

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Avec un PERLES, dès que le panier sous-jacent tombe en-dessous du prix d’entrée, des pertes se produisent. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Solactive Swiss Family Owned Companies Net TR Index (5 ans)¹

Après deux ans de stagnation entre 2014 et 2016, le Solactive Swiss Family Owned Companies Index est reparti à la hausse. Un gain de 29% peut être constaté à un horizon de cinq ans.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

Solactive Global Family Owned Companies Net TR Index (5 ans)¹

Le Solactive Global Family Owned Companies Index s’est inscrit dans une courbe ascendante pratiquement sans interruption depuis mars 2014. La hausse atteint 49% malgré le recul survenu fin 2018/début 2019.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

Open End PERLES sur SolactiveSwiss Family Owned Companies Net TRIndex

Symbol FAMSUU
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive Swiss Family Owned Companies Net TR Index
Devise CHF
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 119.50 / 120.70
 

Open End PERLES sur SolactiveGlobal Family Owned Companies Net TRIndex

Symbol FAMCHU
SVSP Name Tracker Certifikat
SPVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive Global Family Owned Companies Net TR Index
Devise CHF
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 132.90 / 134.30
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’463.32 0.8%
SLI™ 1’457.72 0.7%
S&P 500™ 2’824.23 0.5%
Euro STOXX 50™ 3’372.38 1.5%
S&P™ BRIC 40 4’373.85 2.0%
CMCI™ Compos. 942.20 1.3%
Gold (troy ounce) 1’301.70 USD -0.6%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

Apple/Netflix
L’innovation en marche

Depuis qu’Apple a lancé une invitation à un « Special Event » intitulé « It’s show time » le 25 mars, les rumeurs vont bon train. Les acteurs du marché soupçonnent que la firme de Cupertino pourrait se lancer dans un service de vidéo en streaming, livrant ainsi une concurrence directe à Netflix. Il ne s’agit encore à ce jour que de spéculations, mais dans le domaine des tablettes, la marque culte a en revanche déjà créé une surprise de taille. Elle a en effet annoncé une nouvelle version du célèbre iPad Air et un nouvel iPad mini, qui seront commercialisés dès la dernière semaine de mars. Avec un Callable Worst of Kick-In GOAL en souscription (symbole : KDIQDU) sur Apple et Netflix, il est possible de miser sur les deux sociétés technologiques américaines de façon à optimiser son rendement. L’opportunité de gain s’élève à 12,25% p.a., avec une marge de sécurité confortable de 40%.

Les observateurs sont de plus en plus impatients de découvrir ce que le CEO Tim Cook dévoilera lundi au Steve Jobs Theater. En s’attaquant à la vidéo en streaming, Apple, qui avec son App Store, est déjà implantée dans plus de 100 pays, partirait à la conquête d’un réel marché de croissance. Netflix, le pionnier du streaming, a enregistré 11,4 millions d’abonnés supplémentaires au cours du quatrième trimestre 2018 seulement, pour un total de 145 millions d’abonnements. Son bilan s’est par contre révélé mitigé : si le chiffre d’affaires a gonflé d’un quart, le résultat s’est affaibli. Cela tient principalement à ce que Netflix opère de lourds investissements dans ses propres productions de films et de séries. La société souhaiterait contrer la tendance négative actuelle, entre autres, en augmentant ses prix, comme elle l’a fait aux États-Unis au début de l’année. Pour l’instant, le plus sérieux concurrent de Netflix est Amazon, avec son service « Prime Video », mais la décision d’Apple pourrait marquer l’arrivée d’un nouvel adversaire redoutable dans le secteur, ce qui apporterait une bouffée d’air frais. Netflix n’envisage pas de collaborer avec Apple. D’après son CEO, Reed Hastings, elle entend bien continuer de proposer son offre par le seul biais de son propre service. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 19.03.2019)

Opportunités: depuis le début de l’année, les cours des actions d’Apple et Netflix ne cessent de grimper¹. Afin d’engranger un rendement à deux chiffres en pourcentage avec le Callable Worst of Kick-In GOAL (symbole : KDIQDU) sur les deux géants technologiques américains, un statu quo des cours est parfaitement suffisant. L’essentiel est qu’aucun membre de ce duo ne plonge sous sa barrière fixée à 60% de sa valeur initiale. Pour autant que ce seuil de sécurité ne soit pas compromis, le produit atteindra le rendement maximal de 12,25% p.a. dans deux ans, excepté si le produit est rappelé (Issuer call feature) par l’émetteur.

Risques: les Worst of Kick-In GOALS ne bénéficient d’aucune protection du capital. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents atteint une seule fois la barrière respective (« Kick-In Level ») ou est inférieur à celle-ci, et que la fonction de Callable ne s’applique pas, l’amortissement à l’échéance par remboursement en espèces est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du duo (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

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Apple vs. Netflix
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

12.25% p.a Callable worst of Kick-In GOAL sur Apple/Netflix

Symbol KDIQDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230, Callable
Sous-jacent Apple, Netflix
Devise USD
Coupon 12.25% p.a.
Kick-In Level (barrière)
60%
Echéance 01.04.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 03.04.2019, 15:00 h
 

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Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

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