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Mehr Hoffen als Bangen

KeyInvest Blog

9. April 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Mehr Hoffen als Bangen

Zäumen wir diese Woche das Pferd mal von hinten auf. Die europäischen Aktien befinden sich nämlich in einer erstaunlich guten Phase. Der EURO STOXX 50 konnte sechs Handelstage in Folge mit einem Plus abschliessen, die längste Serie seit etwa mehr als einem halben Jahr. Der DAX schaffte sogar sieben Tagesgewinne hintereinander und erzielte zudem mit einem Kursanstieg von 4.2 Prozent den höchsten Wochengewinn seit rund zweieinhalb Jahren.*

USA vs. China – China vs. EU

Es waren vor allem die Entspannungssignale im Zollstreit zwischen den USA und China, welche die Kurse auf breiter Front haussieren liessen. Nach Ansicht der Politiker in Peking wurden bei dem letzten Treffen in Washington Fortschritte erzielt. Dem stimmte auch die USA zu, allerdings unter Vorbehalt. Eine Präsidialamtssprecherin erklärte, dass noch beträchtliche Arbeit vor den Unterhändlern liegt, um die noch ungelösten Streitpunkte beizulegen. US-Präsident Donald Trump zeigt sich dennoch zuversichtlich und hält ein Handelsabkommen mit dem Reich der Mitte in den kommenden vier Wochen für möglich. Die Verhandlungen sollen in der neuen Woche fortgesetzt werden. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 06.04.2019)

Europa wiederum wird am Dienstag Gespräche mit Peking führen. Die EU möchte mit China unter anderem ein Investitionsabkommen aushandeln und fordert das Land auf, unlautere Handelshemmnisse zu beseitigen. Diplomaten zufolge zeigt sich China im Vorfeld aber nicht besonders kompromissbereit.(Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 05.04.2019)

Ermutigende Signale

Aus wirtschaftlicher Sicht kam es sowohl in hiesigen Breitengraden als auch in Übersee zu freundlichen Tendenzen. So steigerte beispielsweise die deutsche Industrie, angetrieben durch den anhaltenden Bau-Boom, ihre Produktion im Februar unerwartet stark um 0.7 Prozent gegenüber dem Vormonat. Ökonomen hatten nur ein Plus von 0.5 Prozent auf dem Zettel. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 05.04.2019) Während die grösste europäische Volkswirtschaft die zuletzt aufkeimenden Rezessionssorgen etwas besänftigen konnte, bekam die USA in der vergangenen Woche Rückenwind vom Arbeitsmarkt. Der mit grosser Spannung erwartete Arbeitsmarktbericht fiel überraschend positiv aus. Im März wurden 196’000 neue Stellen geschaffen und damit deutlich mehr als im Monat zuvor. Im Februar waren es nur 33’000 neue Jobs. Auch konnten die Markterwartungen von 177’000 Stellen übertroffen werden. (Quelle: dpa-AFX, Medienbericht, 05.04.2019)

Never Ending Story

Der Abstimmungsmarathon in Grossbritannien setzt sich derweil weiter fort. Zwar konnten sich die Briten in der vergangenen Woche darauf einigen, bei der EU einen neuen Brexit-Aufschub bis zum 22. Mai zu beantragen. Doch gibt Europa nur dann grünes Licht, sollte der mit Premierministerin Theresa May ausgehandelte Brexit-Deal zuvor vom britischen Parlament abgesegnet werden. Ein äusserst schwieriges Unterfangen, schliesslich wurde die Vereinbarung bereits drei Mal abgelehnt. Voraussichtlich am Mittwoch wird die EU über den neuen Brexit-Aufschub beraten. Sollte es in den kommenden Tagen zu keiner Einigung kommen, droht am Freitag den 12. April ein ungeordneter Brexit – was letztendlich zu einem Chaos an der Börse führen könnte. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 05.04.2019)

EURO STOXX 50 vs. DAX (5 Jahre)*

*) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Wichtige Termine

Datum Zeit Land Indikator
09.04.2019 08:30 CH Arbeitslosenquote
09.04.2019 EU EU-Verhandlungen mit China
09.04.2019 CH Sika Umsatzzahlen 1. Quartal
10.04.2019 10:30 UK BIP 1. Quartal
10.04.2019 13:45 EZ EZB Zinssatzentscheidung
10.04.2019 14:30 US Verbraucherpreisindex
10.04.2019 EU EU-Beratung über Brexit-Aufschub
12.04.2019 CH Erster Handelstag Stadler Rail

Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Ein Wechselbad der Gefühle

Gerade einmal 23 Zeilen umfasst das von der US-Notenbank am 2. November 2022 veröffentlichte geldpolitische Statement. Dieser kurze Text reichte, um die Börsen – quer durch die Anlageklassen – in Aufruhr zu versetzen. Während die Aktienkurse an der Wall Street nach unten drehten, wertete der US-Dollar deutlich auf.

Steigende Zinsen, gemischte Bilanzen und überraschendes Wachstum

Nicht kleckern, sondern klotzen: Das ist die Devise der Notenbanken in der gegenwärtigen Zeit. XXL-Zinsschritte stehen auf der Tagesordnung. Nachdem das Fed in den USA bereits drei Mal in Folge ihre Leitsätze um 0.75 Prozentpunkte anhob, folgt auch die EZB dem Federal Reserve auf einen steilen Weg.

Jede Menge Gesprächsstoff

Die Ereignisse überschlagen sich: In Italien trat am Wochenende die Regierung rund um die Rechtspopulistin Giorgia Meloni in Kraft, die ab jetzt die Geschicke des Landes leiten wird. Europa darf nun gespannt sein, welche Signale aus dem südeuropäischen Land kommen werden.

Mehr Hoffen als Bangen2019-04-09T06:49:47+02:00

Weekly Hits: Zone euro, Clariant, Givaudan & Lonza

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 05.04.2019

  • Thème 1: Zone euro - Mario laisse le robinet monétaire ouvert
  • Thème 2: Clariant, Givaudan, Lonza - Une branche faible, des titres solides

Zone euro
Mario laisse le robinet monétaire ouvert

Le ciel s’obscurcit au-dessus de l’Europe avec d’une part, la menace d’un conflit commercial entre les États-Unis et la Chine ainsi que l’Europe et d’autre part, le Brexit qui semble s’orienter encore un peu plus vers une sortie de la Grande-Bretagne de l’UE sans accord. Deux facteurs qui pourraient entraîner un nouveau ralentissement de la conjoncture. À titre d’exemple, l’indice des directeurs d’achat pour la zone euro a plongé de 0,6 point pour s’établir à 51,3 en mars, soit la troisième plus faible valeur enregistrée depuis quatre ans et demi. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 22.03.2019) Mais la BCE s’y est déjà préparée : à la surprise générale, les autorités monétaires ont reporté le relèvement des taux pour éviter une éventuelle récession. Certes, le bas niveau des taux directeurs pénalise les épargnants, mais il profite généralement aux marchés d’actions. En fonction de leur propension au risque, plusieurs possibilités s’offrent aux investisseurs qui souhaitent s’engager dans la zone euro : L’ETT (symbole : ETSX5) sur l’Euro STOXX 50™ propose une participation totale.² Ceux qui ne veulent pas renoncer à une marge de sécurité doivent se tourner vers l’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KBIUDU). Ce dernier se base sur les poids lourds de l’Euro STOXX50™ que sont Deutsche Post, LVMH et SAP, et laisse entrevoir une opportunité de rendement intéressante de 7,9%.

Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne qui termine son mandat le 31 octobre 2019, a surpris tout le monde le 27 mars dernier en annulant le relèvement de taux prévu pour cette année. La BCE souhaite s’en tenir à ses taux-clés actuels encore jusqu’à la fin de l’année au moins. Les taux directeurs stagnent à un plancher record de 0,0% depuis 2016. Si la conjoncture venait à se dégrader au-delà des craintes, la première hausse depuis l’année 2011 pourrait être reportée encore plus longtemps si nécessaire. « Nous ne manquons pas d’instruments pour accomplir notre mandat », a expliqué M. Draghi. Les autorités monétaires étudient par ailleurs les effets secondaires des taux durablement bas pour les banques. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 27.03.2019) Jusqu’où M. Draghi ouvrira-t-il encore le robinet monétaire? Cela dépendra de la suite des évènements. Les perspectives ne sont guère réjouissantes actuellement. Dans le cadre de prévisions établies conjointement, les instituts ifo, KOF de Zurich et Istat de Rome estiment que la croissance ne dépassera pas 0,2% dans la zone euro en ce début d’année. Au cours des trimestres à venir, le PIB ne devrait afficher qu’une faible hausse de 0,3%. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 02.04.2019).

L’Euro STOXX 50™ a malgré tout poursuivi sa tendance haussière entamée en début d’année dans l’espoir que le niveau bas des taux perdure. L’indice a gagné près de 13% depuis janvier. Les poids lourds européens Deutsche Post, LVMH et SAP ont progressé bien davantage. Le titre du géant du luxe mondial a même augmenté d’un tiers.¹ Des nouvelles réjouissantes ont accompagné cette envolée puisque le groupe français a en effet clôturé l’exercice passé avec de nouvelles valeurs record. De plus, Bernard Arnault, PDG et actionnaire majoritaire du groupe, s’est montré raisonnablement optimiste pour 2019. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 30.01.2019).

Opportunités: L’ER Kick-In GOAL (symbole : KBIUDU) sur Deutsche Post, LVMH et SAP s’en sort sans nouvelle hausse de cours. Si chacune des barrières du trio reste intacte – Deutsche Post affiche actuellement l’écart le plus faible avec 24,65% – le produit génèrera en à peine une année un rendement de 7,9%. L’ETT (symbole : ETSX5) sur l’Euro STOXX 50™ s’adresse
en revanche aux investisseurs qui souhaitent participer sans protection partielle aux opportunités qu’offrent les 50 plus gros titres de la zone euro.²

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Avec un ETT, dès que l’indice sous-jacent tombe en-dessous du prix d’entrée, des pertes se produisent. Si, pendant la durée de l’investissement, un des sous-jacents du Kick-In GOAL atteint une seule fois le niveau de sa barrière («Kick-In Level») ou descend en dessous, et que la fonction Early Redemption ne s’applique pas, le montant remboursé en espèces à maturité par amortissement est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Indice Euro STOXX 50™ (5 ans)¹

Les 50 plus grandes entreprises cotées en bourse de la zone euro ont récemment rebondi avec dynamisme. En revanche, l’Euro STOXX 50™ n’a finalement pas progressé au cours des cinq dernières années.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

Deutsche Post vs. LVMH vs. SAP
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Les Blue Chips européennes Deutsche Post, LVMH et SAP ont suivi un rythme différent depuis 2014. L’action LVMH, qui a plus que doublé, a enregistré les gains les plus élevés.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

ETT sur Euro STOXX 50™ Net Return Index

Symbol ETSX5
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Euro STOXX 50™ Net Return Index
Conversion ratio 10:1
Devise EUR
Frais de gestion 0.00% p.a.²
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask EUR 712.00 / 712.50
 

8.00% p.a. ER Worst of Kick-In GOAL sur Deutsche Post / LVMH / SAP

Symbol KBIUDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent Deutsche Post, LVMH, SAP
Devise EUR
Coupon 8.00% p.a.
Kick-In Level (Distance) Dt. Post: EUR 29.70 (25.18%)
LVMH: EUR 335.00 (50.97%)
SAP: EUR 103.70 (48.19%)
Rendement latéraux 7.38% / 7.15% p.a.
Echéance 03.04.2020
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask 99.60% / 100.60%
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’570.09 1.9%
SLI™ 1’477.30 3.1%
S&P 500™ 2’873.40 2.4%
Euro STOXX 50™ 3’435.56 3.4%
S&P™ BRIC 40 4’380.80 3.3%
CMCI™ Compos. 938.56 1.0%
Gold (troy ounce) 1’295.30 -1.6%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

Clariant, Givaudan, Lonza
Une branche faible, des titres solides

Le moral est parfois meilleur que le contexte : la fédération de l’industrie chimique allemande (VCI) a fini par revoir considérablement à la baisse ses prévisions pour 2019. Les experts tablent sur un repli de la production d’un bon 3,5% en Allemagne, la première économie d’Europe. En décembre 2018, on parlait pourtant encore d’une hausse modérée de 1,5%. (Source : VCI, communiqué de presse, 12.03.2019) Mais cela ne semble pas perturber les investisseurs plus que cela : le cours des entreprises suisses de produits chimiques spéciaux Clariant, Givaudan et Lonza grimpent depuis le début de l’année.¹ Si le trio marquait une pause maintenant, l’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KDIWDU) en souscription serait le produit adapté : si la barrière de 60% des cours initiaux reste intacte, le produit générera au plus tard dans deux ans le rendement maximum de 7% par an.

Lonza a connu une phase de nervosité en début d’année. Contre toute attente, le CEO Richard Ridinger a annoncé son départ et passé le relais le 1er mars 2019 à son successeur, Marc Funk, qui dirigeait auparavant la Division Pharma & Biotech. Mais cela ne change en rien la stratégie de croissance de l’entreprise. En 2019, son chiffre d’affaires devrait croître de 5 à 9% et sa marge EBITDA principale devrait « se maintenir à un niveau élevé ». La société a signé un rendement de 27,3% en 2018. Il devrait s’établir à 30% d’ici 2022. (Source : Lonza, communiqué de presse, 30.01.2019) Même l’entreprise de produits chimiques spéciaux Clariant en pleine restructuration a partagé des prévisions à moyen terme. Elle a annoncé une croissance supérieure à la moyenne ainsi qu’une hausse de la rentabilité d’ici 2021, sans toutefois indiquer de chiffres précis. (Source : Clariant, communiqué, 13.02.2019) De même, Givaudan a laissé entrevoir une croissance future grâce à des reprises. En 2018, le fabricant d’arômes et de parfums a enregistré une hausse de son chiffre d’affaires de 9,4% grâce à des acquisitions. (Source : Givaudan, communiqué de presse, 25.01.2019)

Opportunités: Le nouvel Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KDIWDU) permet d’investir avec une protection partielle dans le trio d’entreprises de chimie suisses que sont Clariant, Givaudan et Lonza. Le produit donne aux sous-jacents une marge de près de 40% à la baisse sans mettre en péril l’opportunité maximale de gain de 7% p.a. La durée maximale de deux ans peut être réduite d’un an tout au plus en raison de la fonction Early Redemption.

Risques: il n’existe aucune protection du capital pour le produit présenté. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents cote une seule fois au niveau ou en dessous de sa barrière respective (Kick-In Level), et que, de plus, la fonction d’Early Redemption ne s’applique pas, le remboursement par amortissement en espèces à l’échéance est basé sur la performance la plus faible (sur la base du Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les certificats, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Clariant vs. Givaudan vs. Lonza
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

7.00% p.a. ER Worst of Kick-In GOAL sur Clariant / Givaudan / Lonza

Symbol KDIWDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent Clariant, Givaudan, Lonza
Devise CHF
Coupon 7.00% p.a.
Kick-In Level (Barrière) 60.00%
Echéance 12.04.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 10.04.2019, 15:00 h
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 03.04.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

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Weekly Hits: Zone euro, Clariant, Givaudan & Lonza2019-04-05T10:28:32+02:00

Und täglich grüsst das Murmeltier

KeyInvest Blog

1. April 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Und täglich grüsst das Murmeltier

Bei der Betrachtung des aktuellen politischen Geschehens entsteht der Eindruck, als würden sich die Ereignisse im Kreis drehen. Was den Brexit angeht, täuscht das Gefühl auch nicht. Selbst bei der dritten Abstimmung scheiterte Premierministerin Theresa May am britischen Parlament. Und das, obwohl am vergangenen Freitag nur über einen Teil des Vertragswerkes mit der EU abgestimmt wurde. Folglich bleibt der Ausgang weiter offen. Nach Ansicht der EU-Kommission wird allerdings ein ungeregelter Brexit des Landes am 12. April wahrscheinlicher. Um entsprechend vorbereitet zu sein, terminierte EU-Ratspräsident Donald Tusk einen EU-Sondergipfel am 10. April. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 29.03.2019)

Für May scheint es nun allmählich eng werden. Laut der Zeitung «Mail on Sunday» könnten die Abgeordneten am Dienstag in einer Stichwahl über Alternativ-Vorschläge gegen das Abkommen der Premierministerin abstimmen. Laut dem Medienbericht könnten dann bereits am Mittwoch Neuwahlen angesetzt werden.

Entspannung im Handelsstreit

Die Uhr tickt aber nicht nur in Grossbritannien, auch in den USA rückt die Möglichkeit eines Handelskriegs mit China näher. Nach zwei erneuten Verhandlungstagen in Peking zeigt sich die US-Regierung jedoch zuversichtlich, die Differenzen mit dem Reich der Mitte rechtzeitig beilegen zu können. US-Finanzminister Steven Mnuchin teilte im Anschluss mit, dass die Gespräche «konstruktiv» verlaufen seien. Des Weiteren hiess es in US-Regierungskreisen, China hätte Vorschläge gemacht, die weiter gingen als in der Vergangenheit. Die Entwicklungen gaben den Märkten Hoffung auf ein gütiges Abkommen zwischen den beiden grössten Wirtschaftsmächten der Welt. Der S&P 500 beendete die Woche mit einem Plus von 1.2 Prozent.* (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 29.03.2019)

Draghi macht keinen Aprilscherz

Für eine faustdicke Überraschung sorgte Mitte vergangener Woche EZB-Chef Mario Draghi. Der oberste Währungshüter der Eurozone machte auf einer Konferenz in Frankfurt eine plötzliche Umkehr bei der geldpolitischen Ausrichtung. Eigentlich wollte die Notenbank in diesem Jahr zum ersten Mal seit 2011 wieder die Leitsätze anheben. Daraus wird aber nun nichts. Aufgrund einer stärker als erwarteten Konjunktureintrübung verschiebt die EZB nun die Zinswende. Dem nicht genug: Draghi möchte möglicherweise auch die Banken entlasten, die seit 2014 Strafzinsen auf ihre Einlagen bei EZB zahlen müssen. Ins Gespräch gebracht wurde ein gestaffeltes System, wie es bereits in Japan verwendet wird. (Quelle: Die Welt, Medienbericht, 29.03.2019)

Dass diese Entwicklung nicht im Sinne der Schweizer Notenbank ist, ist kein Geheimnis. Die SNB setzt seit Jahren alles daran, dass der aus ihrer Sicht überbewertete Franken an Wert verliert, um somit der exportorientierten Wirtschaft unter die Arme zu greifen. Daher wundert die schnelle Reaktion der Notenbank nicht. «In diesem Umfeld bleiben sowohl der Negativzins als auch unsere Bereitschaft, bei Bedarf am Devisenmarkt zu intervenieren, notwendig», sagte SNB-Direktoriumsmitglied Andrea Mächler. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 28.03.2019) Mit entsprechenden Mini-Futures lässt sich sowohl auf eine Auf- als auch Abwertung des Devisenpaars EUR/CHF setzen. Beispielsweise gewinnt der Long Mini Future (Symbol: FCHAXU) an Wert, sollte sich der Euro wieder verteuern. Das Short-Pendant (Symbol: FCHOAU) ist dagegen auf eine weitere Aufwertung des Frankens ausgerichtet.

Starkes Quartal, unsichere Aussichten

Mit dem März endete auch das erste Quartal 2019. Trotz aller Widrigkeiten kann sich das Vierteljahr aus Sicht der Aktienmärkte sehen lassen. Der Euro STOXX 50 gewann 11.6 Prozent an Wert, der SMI 12.4 Prozent und der S&P 500 legte sogar um 13 Prozent zu. Ob sich diese Kursgewinne im zweiten Quartal einfach fortschreiben lassen, ist ungewiss. Denn so wie der März endete, wird es im April weitergehen. Alles dreht sich um die konjunkturelle Verfassung, denn zum einen steigen nach der Rede von Mario Draghi die Rezessionsängste, zum anderen bedroht ein «No Deal»-Brexit die Wirtschaft zusätzlich. Damit dürften auch in der neuen Woche die Konjunkturdaten ganz oben auf der Interessensskala der Börsianer stehen. Das Augenmerk liegt unter anderem auf den Stimmungsbarometern der europäischen Einkaufsmanager sowie den Arbeitsmarktdaten in den USA.

EUR/CHF (5 Jahre)

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Konjunkturtermine

Datum Zeit Land Indikator
01.04.2019 08:30 CH Einzelhandelsumsätze
01.04.2019 09:30 CH SWME Einkaufsmanagerindex
01.04.2019 10:00 EZ Einkaufsmanagerindex verarbeitendes Gewerbe
01.04.2019 11:00 EZ Verbraucherpreisindex
02.04.2019 08:30 CH Verbraucherpreisindex
02.04.2019 11:00 EZ Arbeitslosenquote
02.04.2019 14:30 US Auftragseingänge
03.04.2019 10:00 EZ Einkaufsmanagerindex Dienstleistungen
03.04.2019 15:45 US Markit PMI Gesamtindex
05.04.2019 14:30 US Arbeitslosenquote

Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Ein Wechselbad der Gefühle

Gerade einmal 23 Zeilen umfasst das von der US-Notenbank am 2. November 2022 veröffentlichte geldpolitische Statement. Dieser kurze Text reichte, um die Börsen – quer durch die Anlageklassen – in Aufruhr zu versetzen. Während die Aktienkurse an der Wall Street nach unten drehten, wertete der US-Dollar deutlich auf.

Steigende Zinsen, gemischte Bilanzen und überraschendes Wachstum

Nicht kleckern, sondern klotzen: Das ist die Devise der Notenbanken in der gegenwärtigen Zeit. XXL-Zinsschritte stehen auf der Tagesordnung. Nachdem das Fed in den USA bereits drei Mal in Folge ihre Leitsätze um 0.75 Prozentpunkte anhob, folgt auch die EZB dem Federal Reserve auf einen steilen Weg.

Jede Menge Gesprächsstoff

Die Ereignisse überschlagen sich: In Italien trat am Wochenende die Regierung rund um die Rechtspopulistin Giorgia Meloni in Kraft, die ab jetzt die Geschicke des Landes leiten wird. Europa darf nun gespannt sein, welche Signale aus dem südeuropäischen Land kommen werden.

Und täglich grüsst das Murmeltier2019-04-01T13:46:44+02:00

Weekly Hits: Technologie financière & Swiss Derivative Awards

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 29.03.2019

  • Thème 1: Technologie financière - Une branche qui a le vent en poupe
  • Thème 2: Swiss Derivative Awards - Deux prix pour UBS

Technologie financière
Une branche qui a le vent en poupe

Alors qu’il manque encore quelques points au SMI™ pour renouer avec son plus haut historique de l’an passé, le Solactive FinTech 20 Total Return Index affiche de son côté une belle envolée. La variante en francs du baromètre enregistre déjà un gain supérieur à 20% depuis le début de l’année.¹ Une étude très récente confirme le vif intérêt que suscite cette nouvelle branche. Selon l’analyse « The Pulse of Fintech 2018 » réalisée par KPMG, les investissements mondiaux dans les start-ups de la technologie financière ont plus que doublé entre 2017 et 2018 en passant de 50,8 à 111,8 milliards de dollars américains. Les méga-transactions telles que l’investissement de Blackstone dans Refinitiv, le prestataire de données de marchés financiers, pour 17 milliards de dollars américains tirent le volume vers le haut. Avec les UBS PERLES sur le Solactive FinTech TR Index, les investisseurs peuvent s’engager de manière diversifiée dans le secteur. Le produit est disponible dans trois monnaies : franc suisse (symbole : FINTE), euro (symbole : FINTEE) et dollar américain (symbole : FINTEU).

Les activités de fusions & acquisitions ainsi que les cycles de financement mondiaux présentent des disparités régionales. Ainsi, tandis que les investissements dans la technologie financière ont presque triplé de 12,2 à 34,2 milliards de dollars américains en Europe, ils ont « seulement » doublé outre-Atlantique. Néanmoins, avec un volume de transactions de 52,5 milliards de dollars américains, les États-Unis mènent la danse dans ce domaine. En Europe, les principales transactions ont impliqué Worldplay qui a été rachetée au premier trimestre par Vantiv le spécialiste américain des cartes de crédit pour près de 13 milliards de dollars américains, mais surtout Nets, le prestataire de paiements. L’évolution du volume moyen des transactions de fusions & acquisitions montre bien que le montant des opérations flambe. En Europe, il est passé de 23,7 millions de dollars américains en 2017 à 62,5 millions de dollars américains en 2018. (Source : KPMG, « The Pulse of Fintech 2018 », 13.02.2019)

Le Solactive FinTech TR Index comporte un grand nombre d’entreprises très variées du secteur. Qu’il s’agisse de traitements des paiements, de systèmes de logiciels bancaires complets ou d’analyses de données financières, le baromètre se base sur 20 « Pure Players » différents du domaine de la technologie financière. Il inclut par exemple Adyen, une société néerlandaise ambitieuse dont les opérations sont en pleine expansion. Spécialisée dans les traitements de paiements numériques, Adyen est cotée en bourse depuis l’année dernière seulement mais la valeur de son titre a déjà presque triplé par rapport au cours d’émission.¹ En 2018, son bénéfice opérationnel a progressé de 83% et sa marge est passée de 49% à 52%. Mais cela ne suffit toujours pas à Adyen puisque la direction vise une marge bénéficiaire supérieure à 55% à long terme. (Source : Adyen, rapport financier, 27.02.2019)
L’indice de stratégie inclut aussi la société suisse Temenos. Ce fabricant de logiciels bancaires affiche également une forte croissance et ce, depuis plusieurs années déjà. Entre 2014 et 2018, son chiffre d’affaires et son EBITDA (résultat d’exploitation avant intérêts, impôts et amortissements) n’ont cessé de grimper. Pendant cette période, ses recettes ont augmenté de 79,4% et son EBITDA de 85,6%. Cette tendance positive devrait se poursuivre: pour 2019, Temenos prévoit d’accroître ses recettes de 16% à 19% et son bénéfice opérationnel de 18% environ. (Source : Temenos, rapport financier 2018, 25.03.2019)

Opportunités: le Solactive FinTech TR Index offre une possibilité d’investissement intéressante dans le secteur de la technologie financière en plein essor. Il est revu et adapté si nécessaire deux fois par an, en mars et en septembre, afin que le sous-jacent reste d’actualité. Les UBS Open End PERLES (symboles : FINTE, FINTEE, FINTEU) participent pleinement à l’évolution de l’indice de stratégie. Seule une commission de gestion de 0,75% p.a. est déduite. Étant donné qu’il s’agit d’un indice Total Return, les versements de dividendes des membres ne sont pas perdus car ils sont réinvestis nets dans l’indice.

Risques: les Open End PERLES ne bénéficient d’aucune protection du capital. En conséquence, une évolution négative des sous-jacents génère les pertes correspondantes pour le produit structuré. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Solactive FinTech TR Index depuis le 03.04.2015¹

Le Solactive FinTech TR Index a également dû payer son tribut à la correction de marché du quatrième trimestre 2018. Mais il s’est vivement repris : la variante en franc suisse a même atteint un nouveau plus haut.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

Temenos vs. SMIM™
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en%)¹

L’action Temenos n’a laissé aucune chance au SMIM™ ces cinq dernières années. Le cours de la Mid Cap suisse a plus que quadruplé pendant la période.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

Open End PERLES sur Solactive FinTech 20 Total Return Index (CHF)

Symbol FINTE
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive FinTech 20 Total Return Index
Conversion ratio 1.0108:1
Devise CHF
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 186.80 / 188.80
 

Open End PERLES sur Solactive FinTech 20 Total Return Index (USD)

Symbol FINTEU
SVSP Name Tracker Certifikat
SPVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive FinTech 20 Total Return Index
Conversion ratio 1:1.013685
Devise USD
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask USD 175.50 / 177.30
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’390.59 -0.8%
SLI™ 1’433.27 -1.7%
S&P 500™ 2’805.37 -0.7%
Euro STOXX 50™ 3’322.04 -1.5%
S&P™ BRIC 40 4’239.28 -3.1%
CMCI™ Compos. 928.97 -1.4%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

Swiss Derivative Awards
Deux prix pour UBS

La 14e édition des Swiss Derivative Awards s’est déroulée le 21 mars 2019 à Zurich. Au cours de la soirée, le jury a distingué cinq produits structurés et décerné la mention « Top Service » à quatre émetteurs. UBS a remporté l’un des trophées convoités dans chacune des deux catégories. Les membres du jury ont désigné le 100% Capital Protected Note (CPN) sur WTI Crude Oil (symbole : KBTVDU) « Meilleur produit de matières premières ». Ce produit jouit d’une protection totale du capital à l’échéance. En parallèle, le CPN participe, sur la base du Strike et également à l’échéance, à la hausse du cours du pétrole avec un taux de participation de 150%.

Selon Derivative Partners AG, l’organisateur de cette soirée des « Oscars du secteur des produits dérivés », 250 invités issus de l’industrie européenne des produits dérivés ont assisté aux Swiss Derivative Awards 2019 à l’AURA de Zurich. Tous étaient impatients de voir quelles solutions de placement le jury composé de quatre experts désignerait cette année « meilleurs produits structurés de Suisse ». Quatre émetteurs ont par ailleurs reçu la mention « Top Service » particulièrement convoitée puisqu’elle se fonde sur huit critères différents dont le Market Making, le Pricing, le site internet mais aussi un vote des investisseurs. UBS fait partie des quatre lauréats qui ont rempli l’ensemble des critères pour ce prix.

Jérôme Allet, Head UBS Public Distribution Switzerland, avait déjà reçu l’un des trophées prisés plus tôt dans la soirée pour le 100 % CPN sur WTI Crude Oil (symbole : KBTVDU) qui s’est imposé dans la catégorie « Meilleur produit de matières premières » malgré une concurrence féroce. Le jury a ainsi récompensé l’idée sous-tendant cette solution de placement lancée en 2018 selon laquelle une participation disproportionnée à la hausse du prix du pétrole est possible avec une protection totale du capital. En raison des craintes de surproduction circulant sur les marchés, le sous-jacent s’est considérablement replié au quatrième trimestre 2018, mais il a repris de la vigueur après la décision de l’OPEP et d’autres pays producteurs (OPEP+) en décembre dernier de réduire la production.¹

Opportunités: certes, le contrat à terme sur WTI arrivant prochainement à échéance n’atteint pas encore le Strike du CPN (66,22 dollars américains) mais le produit n’arrive à échéance qu’en juin 2022. Il reste donc assez de temps pour que la composante de participation entre en jeu: dès que le contrat à terme dépasse le niveau du Strike à l’échéance, le CPN participe aux gains de manière disproportionnée avec un taux de 150%. Si le WTI ne dépasse pas ou n’atteint pas la barre déterminante, la protection du capital s’applique. À l’échéance, le nominal est garanti à 100%.

Risques: la protection du capital n’entre en jeu qu’à la date d’échéance pour le CPN. Le produit peut subir des fluctuations de prix pendant la période. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

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WTI Crude Oil Future (USD / Barrel) 5 ans

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

100% Capital Protected Note sur WTI Crude Oil Future

Symbol KBTVDU
SVSP Name Capital Protection Certificate with Participation
SPVSP Code 1100
Sous-jacent WTI Crude Oil Future
Nominal USD 1’000
Protection du capital 100%
Participation 150%
Echéance 20.06.2022
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask 99.35% / 100.40%
 

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Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 27.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

This material has been prepared by UBS AG or one of its affiliates («UBS»). This material is for distribution only as permitted by law. It is not prepared for the needs of any specific recipient. It is published solely for information and is not a solicitation or offer to buy or sell any securities or related financial instruments (“Instruments”). UBS makes no representation or warranty, either express or implied, on the completeness or reliability of the information contained in this document (“Information”) except that concerning UBS AG and its affiliates. The Information should not be regarded by recipients as a substitute for using their own judgment. Any opinions expressed in this material may change without notice and may be contrary to opinions expressed by other business areas of UBS as a result of using different assumptions or criteria. UBS is under no obligation to update the Information. UBS, its officers, employees or clients may have or have had an interest in the Instruments and may at any time transact in them. UBS may have or have had a relationship with entities referred to in the Information. Neither UBS nor any of its affiliates, or their officers or employees, accepts any liability for any loss arising from use of the Information. This presentation is not a basis for entering into a transaction. Any transaction between you and UBS will be subject to the detailed provisions of the term sheet, confirmation or electronic matching systems relating to that transaction. Clients wishing to effect transactions should contact their local sales representative.
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Weekly Hits: Technologie financière & Swiss Derivative Awards2019-03-29T10:53:17+01:00

Bremsspuren in Politik und Wirtschaft

KeyInvest Blog

25. März 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Bremsspuren in Politik und Wirtschaft

Nicht zu überhören war in der vergangenen Woche erneut das politische Getöse. Das entscheidende Signal kam dann aus London: Premierministerin Theresa May handelte mit den EU-Staats- und Regierungschefs eine Verschiebung des Brexit-Termins aus. Noch aber ist dieser Plan nicht in trockenen Tüchern, das britische Parlament muss noch zustimmen. Zwar gibt es dafür kein fixes Datum, fest steht aber, dass die Abstimmung noch diese Woche über die Bühne gehen soll. Kommt es zu einer Mehrheit, wird es eine Verschiebung des Brexit-Datums bis zum 22. Mai geben. Sollte das Unterhaus aber den Vertrag ablehnen, dauert die Verlängerung lediglich bis zum 12. April.

Die Autoindustrie im Fokus

Doch nicht nur die Politik stand – wie zuletzt so oft – vergangene Woche im Fokus, etwas Ablenkung kam von sportlicher Seite. Am 17. März startete im australischen Melbourne die 70. Saison der Formel-1-Weltmeisterschaft. Diese begann, wie die alte endete: Mercedes fährt vorne weg und die roten Renner mit gehörigem Abstand hinterher. Das ist deshalb so wunderlich, weil die Vorzeichen aus wirtschaftlicher Sicht komplett entgegengesetzt sind. Während die Mercedes-Mutter Daimler mit Gewinneinbrüchen ringt und sogar die Dividende kürzen musste, stehen die Zeichen bei Ferrari auf Wachstum. Der italienische Luxusautohersteller hob seine Dividende sogar um satte 45 Prozent auf 1.03 Euro an. Anders als die Konkurrenz rechnet Ferrari-Chef Louis Camilleri 2019 mit steigenden Erlösen und Profiten. (Quelle: Ferrari, Medienmitteilung, 26.02.2019)

Auf der Bilanzpressekonferenz bei BMW in der vergangenen Woche waren ganz andere Töne zu vernehmen. Konzernlenker Harald Krüger rechnet dieses Jahr erneut mit einem Gewinneinbruch. Belastet wird das Ergebnis vor allem durch hohe Investitionen in die Elektromobilität. Damit die Kosten im aktuellen Transformationsprozess der Branche nicht ausufern, bündeln die beiden Erzrivalen BMW und Daimler derzeit ihre Kräfte. Neben einer gemeinsamen Mobilitätsfirma für Carsharing haben die Kontrahenten jüngst auch die Absicht zur Kooperation beim Autonomen Fahren erklärt. Ebenfalls seine Zahlen offen legte vergangene Woche Porsche. Zwei Überraschungen hatte der Sportwagenhersteller parat: Zum einen konnte das Unternehmen den Gewinn steigern, zum anderen wurde die Beteiligung an VW für rund 400 Millionen Euro auf 53.1 Prozent ausgebaut. (Quelle: dpa-AFX, Medienbericht, 19.03.2019)

Investieren auf vier Rädern

Während die deutschen Premiummarken an der Börse derzeit das Nachsehen haben, fährt die Ferrari-Aktie einen heissen Reifen. Die Titel stehen sogar kurz vor einem neuen Rekordhoch. Davon ist BMW zwar weit weg, doch scheint die mittelfristige Abwärtsfahrt zumindest an Dynamik zu verlieren. Der Schock eines weiteren Ergebnisrückgangs sowie der Kürzung der Dividende sorgte bei der Aktie für keine grösseren Blessuren mehr.1 Möglicherweise ein guter Zeitpunkt, sich dem arg gebeutelten Sektor mit Renditeoptimierungsprodukten zu nähern. Interessant könnte zum Beispiel der Early Redemption Kick-In GOAL (Symbol: CARSEU) auf BMW, Daimler und VW sein. Das Produkt bietet aktuell eine Seitwärtsrendite von 13.0 Prozent p.a., der Teilschutz beträgt komfortable 37 Prozent. Ebenfalls ein Blick wert könnte das baugleiche Produkt auf Ferrari und Porsche (Symbol: KCBZDU) sein. Die Seitwärtsrendite von 12.4 Prozent p.a. wird durch einen aktuellen Risikopuffer von rund 66% Prozent geschützt.

USA vs. China

Doch zurück auf die politische Weltbühne. Neben der Eingans erwähnten Brexit-Abstimmung kommt es in dieser Woche noch zu einem zweiten zentralen Ereignis: Eine neue Runde bei den Handelsgesprächen zwischen den USA und China ist geplant. Im Vorfeld hatte bereits US-Präsident Donald Trump verkündet, dass die Verhandlungen gut liefen. Nun sollen US-Finanzminister Steven Mnuchin sowie der Handelsbeauftragte Robert Lighthizer am 28. März erneut nach Peking reisen. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 24.03.2019)

Wichtige Signale

Ein schnelles Ende des Zollstreits wünschen sich derzeit viele Börsianer, denn die Wirtschaft scheint sich rund um den Globus einzutrüben. Während der chinesische Volkskongress auf seiner jüngsten Jahrestagung das niedrige Wachstumsziel in Höhe von 6.0 bis 6.5 Prozent bestätigte, droht nun auch in den USA eine Verringerung des Tempos. Wie Ernst die Lage ist, zeigte sich im Zinsentscheid: Die Fed hatte am Mittwoch aufgrund der unsicheren Konjunkturaussichten weiteren Erhöhungen einen Riegel vorgeschoben. Nun sei eine grossartige Zeit, geduldig zu sein, sagte Fed-Chef Jerome Powell. Im Dezember 2018 war noch von zwei Erhöhungen die Rede. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 23.03.2019) Auch hierzulande sind keine steigenden Leitsätze zu erwarten. Die SNB bestätigte auf ihrer Sitzung am Donnertag ihre lockere Geldpolitik und belässt das Zielband für den Referenzzins Dreimonats-Libor bei -1.25% bis -0.25%. (Quelle: SNB, Medienmitteilung, 21.03.2019) Einen Eindruck, wie genau es um die US-Wirtschaft steht, werden Marktteilnehmer unter anderem durch die Veröffentlichung des Verbrauchervertrauens bekommen.

Ferrari vs. Porsche¹
(seit Ferrari-Notierungsaufnahme in Mailand am 4. Januar 2016)

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Konjunkturtermine

Datum Land Ereignis
26.03.2019 DE Gfk Verbrauchervertrauen
26.03.2019 US Verbrauchervertrauen Conference Board
27.03.2019 CH ZEW Umfrage Konjunkturerwartungen
27.03.2019 US Handelsbilanz
28.03.2019 EZ Geschäftsklimaindex
28.03.2019 US Konsumausgaben
29.03.2019 CH KOF Leitindikator
29.03.2019 EZ Verbraucherpreisindex
29.03.2019 US Uni Michigan Verbrauchervertrauen
29.03.2019 US Verkäufe neuer Häuser

Stand: 18.03.2019

Weitere Blogeinträge:

Ein Wechselbad der Gefühle

Gerade einmal 23 Zeilen umfasst das von der US-Notenbank am 2. November 2022 veröffentlichte geldpolitische Statement. Dieser kurze Text reichte, um die Börsen – quer durch die Anlageklassen – in Aufruhr zu versetzen. Während die Aktienkurse an der Wall Street nach unten drehten, wertete der US-Dollar deutlich auf.

Steigende Zinsen, gemischte Bilanzen und überraschendes Wachstum

Nicht kleckern, sondern klotzen: Das ist die Devise der Notenbanken in der gegenwärtigen Zeit. XXL-Zinsschritte stehen auf der Tagesordnung. Nachdem das Fed in den USA bereits drei Mal in Folge ihre Leitsätze um 0.75 Prozentpunkte anhob, folgt auch die EZB dem Federal Reserve auf einen steilen Weg.

Jede Menge Gesprächsstoff

Die Ereignisse überschlagen sich: In Italien trat am Wochenende die Regierung rund um die Rechtspopulistin Giorgia Meloni in Kraft, die ab jetzt die Geschicke des Landes leiten wird. Europa darf nun gespannt sein, welche Signale aus dem südeuropäischen Land kommen werden.

Bremsspuren in Politik und Wirtschaft2019-03-25T11:19:22+01:00

Weekly Hits: Entreprises familiales, Apple & Netflix

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 22.03.2019

  • Thème 1: Entreprises familiales - La réussite dans les gènes
  • Thème 2: Apple/Netflix - L’innovation en marche

Entreprises familiales
La réussite dans les gènes

Souvent, une image quelque peu poussiéreuse colle aux entreprises familiales. À tort, car elles ne manquent pas d’esprit d’innovation, ainsi qu’en atteste l’exemple de Swatch : le groupe vient de faire entrer ses célèbres chronomètres dans l’ère du numérique et il leur suffit désormais de quelques secondes pour se transformer en moyen de paiement. Les entreprises familiales de grande envergure jouent également un rôle important à l’échelle mondiale. Au total, 19 groupes suisses sont ainsi réunis dans le nouveau « Global Family Business Index », une initiative portée conjointement par EY et l’Université de Saint-Gall. Les 500 entreprises qui composent ce baromètre forment l’univers d’actions de deux Open End PERLES, l’un sur le Solactive Swiss Family Owned Companies Index (symbole : FAMSUU) et l’autre sur le Solactive Global Family Owned Companies Index (symbole : FAMCHU). Après déduction de frais de gestion annuels de 0,75%, les deux Tracker Certificats reproduisent à l’identique l’évolution des cours de leur indice respectif.

EY et l’Université de Saint-Gall ont récemment mené une étude sur le degré de réussite des entreprises familiales au cours des dernières années. Il s’est avéré que le chiffre d’affaires total des 500 multinationales observées est passé de 13,6 à près de 15 milliards de dollars américains, soit une hausse de 9,9%, entre 2017 et 2019. À titre de comparaison, les membres de l’indice Fortune 500, qui regroupe les sociétés ayant le chiffre d’affaires le plus élevé dans le monde, affichent seulement un taux de croissance moyen de leur chiffre d’affaires de 8,6% pour cette période. La majorité des entreprises familiales sont en outre implantées en Europe, avec une part de 46%, et les entreprises européennes ont même vu leur nombre augmenter à 230 au lieu de 224 en 2017. L’Amérique du Nord occupe la deuxième place, mais les entreprises familiales de cette région ont perdu un point de pourcentage par rapport à la situation d’il y a deux ans, atteignant une part de 30%. (Source : EY, 2019, Global Family Business Index Report, 15.02.2019).

Même si les titres technologiques sont toujours plus nombreux à rejoindre le Family Business Index ces derniers temps, les biens de consommation, qui représentent actuellement 31%, dominent toujours le classement sectoriel. Le numéro un mondial est le détaillant américain Walmart, avec un chiffre d’affaires avoisinant 486 milliards de dollars, suivi par Volkswagen. Les Suisses ne sont toutefois pas en reste, avec notamment Roche, qui intègre le top 20. (Source : EY, 2019, Global Family Business Index Report, 15.02.2019). Le conglomérat pharmaceutique des familles Hoffmann et Oeri a récemment réussi à marquer des points également sur le plan opérationnel. En 2018, son chiffre d’affaires a progressé de 7% et son bénéfice d’exploitation s’est même amélioré de 14%. Les principaux moteurs de cette croissance ont été le nouveau médicament de traitement de la sclérose en plaques Ocrevus, ainsi que les anticancéreux Perjeta, Tecentriq et Alecensa. Cette tendance positive devrait par ailleurs se poursuivre en 2019. La direction escompte que les recettes s’accroissent d’un pourcentage faible à moyen à un chiffre.

Opportunités: les bons de jouissance de Roche sont repris à la fois dans le Solactive Swiss Family Owned Companies Index et dans la déclinaison mondiale de ce baromètre. Dans le premier, cette entreprise de santé est le poids lourd absolu. Avec les Open End PERLES sur le Solactive Swiss Family Owned Companies Index (symbole : FAMSUU) et sur le Solactive Global Family Owned Companies Index (symbole : FAMCHU), les investisseurs peuvent aisément intégrer cette stratégie de placement aux perspectives prometteuses dans leur dépôt. Ils profitent alors aussi des dividendes nets des membres, qui sont réinvestis dans l’indice respectif. En contrepartie, une commission de gestion de 0,75% p.a. est prélevée.

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Avec un PERLES, dès que le panier sous-jacent tombe en-dessous du prix d’entrée, des pertes se produisent. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Solactive Swiss Family Owned Companies Net TR Index (5 ans)¹

Après deux ans de stagnation entre 2014 et 2016, le Solactive Swiss Family Owned Companies Index est reparti à la hausse. Un gain de 29% peut être constaté à un horizon de cinq ans.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

Solactive Global Family Owned Companies Net TR Index (5 ans)¹

Le Solactive Global Family Owned Companies Index s’est inscrit dans une courbe ascendante pratiquement sans interruption depuis mars 2014. La hausse atteint 49% malgré le recul survenu fin 2018/début 2019.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

Open End PERLES sur SolactiveSwiss Family Owned Companies Net TRIndex

Symbol FAMSUU
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive Swiss Family Owned Companies Net TR Index
Devise CHF
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 119.50 / 120.70
 

Open End PERLES sur SolactiveGlobal Family Owned Companies Net TRIndex

Symbol FAMCHU
SVSP Name Tracker Certifikat
SPVSP Code 1300
Sous-jacent Solactive Global Family Owned Companies Net TR Index
Devise CHF
Frais de gestion 0.75% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 132.90 / 134.30
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’463.32 0.8%
SLI™ 1’457.72 0.7%
S&P 500™ 2’824.23 0.5%
Euro STOXX 50™ 3’372.38 1.5%
S&P™ BRIC 40 4’373.85 2.0%
CMCI™ Compos. 942.20 1.3%
Gold (troy ounce) 1’301.70 USD -0.6%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

Apple/Netflix
L’innovation en marche

Depuis qu’Apple a lancé une invitation à un « Special Event » intitulé « It’s show time » le 25 mars, les rumeurs vont bon train. Les acteurs du marché soupçonnent que la firme de Cupertino pourrait se lancer dans un service de vidéo en streaming, livrant ainsi une concurrence directe à Netflix. Il ne s’agit encore à ce jour que de spéculations, mais dans le domaine des tablettes, la marque culte a en revanche déjà créé une surprise de taille. Elle a en effet annoncé une nouvelle version du célèbre iPad Air et un nouvel iPad mini, qui seront commercialisés dès la dernière semaine de mars. Avec un Callable Worst of Kick-In GOAL en souscription (symbole : KDIQDU) sur Apple et Netflix, il est possible de miser sur les deux sociétés technologiques américaines de façon à optimiser son rendement. L’opportunité de gain s’élève à 12,25% p.a., avec une marge de sécurité confortable de 40%.

Les observateurs sont de plus en plus impatients de découvrir ce que le CEO Tim Cook dévoilera lundi au Steve Jobs Theater. En s’attaquant à la vidéo en streaming, Apple, qui avec son App Store, est déjà implantée dans plus de 100 pays, partirait à la conquête d’un réel marché de croissance. Netflix, le pionnier du streaming, a enregistré 11,4 millions d’abonnés supplémentaires au cours du quatrième trimestre 2018 seulement, pour un total de 145 millions d’abonnements. Son bilan s’est par contre révélé mitigé : si le chiffre d’affaires a gonflé d’un quart, le résultat s’est affaibli. Cela tient principalement à ce que Netflix opère de lourds investissements dans ses propres productions de films et de séries. La société souhaiterait contrer la tendance négative actuelle, entre autres, en augmentant ses prix, comme elle l’a fait aux États-Unis au début de l’année. Pour l’instant, le plus sérieux concurrent de Netflix est Amazon, avec son service « Prime Video », mais la décision d’Apple pourrait marquer l’arrivée d’un nouvel adversaire redoutable dans le secteur, ce qui apporterait une bouffée d’air frais. Netflix n’envisage pas de collaborer avec Apple. D’après son CEO, Reed Hastings, elle entend bien continuer de proposer son offre par le seul biais de son propre service. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 19.03.2019)

Opportunités: depuis le début de l’année, les cours des actions d’Apple et Netflix ne cessent de grimper¹. Afin d’engranger un rendement à deux chiffres en pourcentage avec le Callable Worst of Kick-In GOAL (symbole : KDIQDU) sur les deux géants technologiques américains, un statu quo des cours est parfaitement suffisant. L’essentiel est qu’aucun membre de ce duo ne plonge sous sa barrière fixée à 60% de sa valeur initiale. Pour autant que ce seuil de sécurité ne soit pas compromis, le produit atteindra le rendement maximal de 12,25% p.a. dans deux ans, excepté si le produit est rappelé (Issuer call feature) par l’émetteur.

Risques: les Worst of Kick-In GOALS ne bénéficient d’aucune protection du capital. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents atteint une seule fois la barrière respective (« Kick-In Level ») ou est inférieur à celle-ci, et que la fonction de Callable ne s’applique pas, l’amortissement à l’échéance par remboursement en espèces est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du duo (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Apple vs. Netflix
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

12.25% p.a Callable worst of Kick-In GOAL sur Apple/Netflix

Symbol KDIQDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230, Callable
Sous-jacent Apple, Netflix
Devise USD
Coupon 12.25% p.a.
Kick-In Level (barrière)
60%
Echéance 01.04.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 03.04.2019, 15:00 h
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 20.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

This material has been prepared by UBS AG or one of its affiliates («UBS»). This material is for distribution only as permitted by law. It is not prepared for the needs of any specific recipient. It is published solely for information and is not a solicitation or offer to buy or sell any securities or related financial instruments (“Instruments”). UBS makes no representation or warranty, either express or implied, on the completeness or reliability of the information contained in this document (“Information”) except that concerning UBS AG and its affiliates. The Information should not be regarded by recipients as a substitute for using their own judgment. Any opinions expressed in this material may change without notice and may be contrary to opinions expressed by other business areas of UBS as a result of using different assumptions or criteria. UBS is under no obligation to update the Information. UBS, its officers, employees or clients may have or have had an interest in the Instruments and may at any time transact in them. UBS may have or have had a relationship with entities referred to in the Information. Neither UBS nor any of its affiliates, or their officers or employees, accepts any liability for any loss arising from use of the Information. This presentation is not a basis for entering into a transaction. Any transaction between you and UBS will be subject to the detailed provisions of the term sheet, confirmation or electronic matching systems relating to that transaction. Clients wishing to effect transactions should contact their local sales representative.
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Weekly Hits: Entreprises familiales, Apple & Netflix2019-03-22T12:52:42+01:00

Geldpolitische Weichenstellungen

KeyInvest Blog

18. März 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Geldpolitische Weichenstellungen

Die Aktienmärkte haben erleichtert auf die geplante Brexit-Verschiebung reagiert. Allerdings könnte bereits die neue Woche zeigen, dass dieses Dauerthema kaum etwas an Brisanz verloren hat. Im Fokus der Investoren dürften zudem die Notenbanksitzungen in drei wichtigen Währungsräumen stehen. Innert weniger als 24 Stunden melden sich am Mittwoch und Donnerstag US-Fed, Schweizerische Nationalbank sowie Bank of England zu Wort.

„Ein neuer Tag, eine neue Brexit-Abstimmung“ – in einem Kommentar bringt UBS CIO GWM die vergangene Woche im britischen Unterhaus treffend auf den Punkt. Nach heftigen Debatten und der erneuten Ablehnung des von Premierministerin Theresa May mit der Europäischen Union (EU) ausgehandelten Abkommens möchte das Parlament die Scheidung verschieben. Damit sie tatsächlich bis zu drei Monate nach dem dafür eigentlich vorgesehen 29. März erfolgt, muss das Unterhaus allerdings bis Mittwoch dem Ausstiegsvertrag doch noch zustimmen. Andernfalls möchte die Regierungschefin den Brexit über mehrere Jahre in die Länge ziehen.

Laut UBS CIO GWM könnte Theresa May mit dieser Vorgehensweise versucht haben, den Druck auf die Europa-Skeptiker in ihrer Partei zu erhöhen. Ungeachtet dessen müssen die 27 EU-Mitgliedsstaaten die Verschiebung noch absegnen. Mit einer dementsprechend hohen Unsicherheit bleibt die weitere Entwicklung nach Ansicht der Kapitalmarktexperten verbunden. (Quelle: UBS CIO GWM, Thought of the day: „Brexit interrupted: Lawmakers vote for a delay “, 15.03.2019).

SMI™ auf Gipfeltour

Gleichwohl machte sich an den Aktienmärkten zunächst Erleichterung breit. Die Kurse zogen auf breiter Front an. Beispiel SMI™: Am Ende einer ereignisreichen Handelswoche stand für den Leitindex ein Plus von 2.3 Prozent zu Buche. Am Freitag, 15. März notierte der Index zum ersten Mal seit Anfang 2018 bei mehr als 9’500 Punkten. Damit trennten ihn nur noch etwas mehr als 100 Zähler vom Allzeithoch. Derweil notiert die Total-Return-Variante, hier werden auch die Dividenden der 20 Large Caps mit eingerechnet, bereits auf Rekordniveau. Aktuell steuert der SMI™ TR Index auf die Marke von 20’000 Punkten zu (siehe Grafik).1 Mit einem ETT (Symbol: ETSMI) können Anleger sowohl kurzfristig auf den Sprung über diese Schallmauer setzen als auch eine dauerhafte Buy-and-Hold-Position eingehen.

Federal Reserve: Keine Eile

Bei der möglichen Gipfeltour wird die Investoren nicht nur der Brexit weiter begleiten. In der neuen Woche könnten zudem drei wichtige Notenbanken Einfluss auf das Börsenwetter nehmen. Bereits am Dienstag startet in Washington eine zweitägige Sitzung des Federal Reserve Systems. Nach deren Ende wird die US-Notenbank am Mittwoch, 19:00 Uhr MEZ, die aktuelle Beschlusslage publizieren. Darüber hinaus tritt Fed-Präsdient Jerome Powell an einer Medienkonferenz auf. Kurz vor dem Meeting hat er die abwartende Haltung des Offenmarktausschusses in der Geldpolitik bestätigt. „Wir werden geduldig sein“, erklärte Powell in einem Interview mit dem TV-Sender CBS. Gleichzeitig bezeichnete er das aktuelle US-Zinsniveau als „angemessen“. Für das Fed bestehe also keine Eile, daran etwas zu ändern. Als Risiken für die weltgrösste Volkswirtschaft bezeichnete der oberste Währungshüter ein schwächeres Wachstum in China und Europa sowie den Brexit. (Quelle: CBS News, Jerome Powell: The „60 Minutes“ interview, Videoabfrage 15.03.2019)

SNB: Steilvorlage aus Frankfurt

Eben diese Gemengelage dürfte auch Einfluss auf die Geldpolitische Lagebeurteilung nehmen, welche die Schweizerische Nationalbank am Donnerstagvormittag veröffentlicht. Gespannt warten die Märkte darauf, ob und gegebenenfalls wie die SNB auf die jüngsten Beschlüsse der Europäischen Zentralbank reagiert. Bekanntlich möchte die EZB länger als noch zuvor an einem Leitsatz von 0.00 Prozent festhalten. Ausserdem kündigte sie am 7. März neue Finanzierungsgeschäfte für den Bankensektor an (siehe Wochenkommentar vom 11.03.2019). Es ist schwer vorstellbar, dass die SNB nun auch nur ansatzweise über ein Ende der Negativzinsen nachdenkt.

BoE: Im Bann des Brexits

Nur wenige Stunden nach der Nationalbank meldet sich die Bank of England zu Wort. Wegen der mit dem Brexit einhergehenden Unsicherheit hat die BoE im Februar ihre Konjunkturprognose nach unten revidiert. Anstelle des zuvor erwarteten Wachstums von 1.7 Prozent traut sie dem Königreich in 2019 nur noch eine Steigerung der Wirtschaftsleistung um 1.2 Prozent zu. Den Schlüsselsatz für die Geldversorgung von Geschäftsbanken beliess die Notenbank unverändert bei 0.75 Prozent. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 07.02.2019) Ob das Monetary Policy Committee die Bank Rate in der neuen Woche anfasst, dürfte entscheidend davon abhängen, wie sich die Dinge im keine vier Kilometer vom Sitz der BoE entfernten Westminster Palace entwickeln.

SMITM 5 Jahre¹
(in Punkten)

Stand: 15.03.2019; Quelle: UBS AG, Bloomberg

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Unternehmens- und Konjunkturtermine

Datum Uhrzeit Land Ereignis
19.03.2019 07:00 CH Partners Group Jahreszahlen
20.03.2019 07:30 DE Münchener Rück Bilanz 2018
20.03.2019 10:30 GB Konsumentenpreise Februar
20.03.2019 19:00 US Fed Zinsentscheidung
21.03.2019 10:30 GB Detailhandelsumsätze Februar 2019
21.03.2019 10:30 CH SNB Geldpolitische Lagebeurteilung
21.03.2019 13:00 GB BoE Zinsentscheidung
21.03.2019 16:00 EZ Verbrauchervertrauen März 2019
21.03.2019 21:15 US Nike Quartalszahlen
22.03.2019 10:00 EZ Einkaufsmanagerindex März 2019
22.03.2019 14:00 CH SGS Generalversammlung

Stand: 18.03.2019; Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Ein Wechselbad der Gefühle

Gerade einmal 23 Zeilen umfasst das von der US-Notenbank am 2. November 2022 veröffentlichte geldpolitische Statement. Dieser kurze Text reichte, um die Börsen – quer durch die Anlageklassen – in Aufruhr zu versetzen. Während die Aktienkurse an der Wall Street nach unten drehten, wertete der US-Dollar deutlich auf.

Steigende Zinsen, gemischte Bilanzen und überraschendes Wachstum

Nicht kleckern, sondern klotzen: Das ist die Devise der Notenbanken in der gegenwärtigen Zeit. XXL-Zinsschritte stehen auf der Tagesordnung. Nachdem das Fed in den USA bereits drei Mal in Folge ihre Leitsätze um 0.75 Prozentpunkte anhob, folgt auch die EZB dem Federal Reserve auf einen steilen Weg.

Jede Menge Gesprächsstoff

Die Ereignisse überschlagen sich: In Italien trat am Wochenende die Regierung rund um die Rechtspopulistin Giorgia Meloni in Kraft, die ab jetzt die Geschicke des Landes leiten wird. Europa darf nun gespannt sein, welche Signale aus dem südeuropäischen Land kommen werden.

Geldpolitische Weichenstellungen2019-03-18T09:51:28+01:00

Weekly Hits: Marché du pétrole & Secteur du luxe

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 15.03.2019

  • Thème 1: Marché du pétrole - Moins de pression dans les pipelines
  • Thème 2: Secteur du luxe - Swatch sous les feux de la rampe

Marché du pétrole
Moins de pression dans les pipelines

On entend beaucoup parler de l’« OPEP+ » sur les marchés de l’énergie en ce moment. Derrière cet acronyme se cache une alliance entre l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et d’autres producteurs d’or noir, notamment la Russie. L’OPEP+ a freiné la production pour prévenir le risque de surproduction, et ce calcul semble porter ses fruits jusqu’à présent : depuis le début de l’année, le prix du baril de Brent de la mer du Nord a gagné 23%.¹ UBS CIO GWM pense que le cours va continuer de grimper. L’ETC (symbole : TCOCIU) propose une participation transparente et rentable à l’UBS Bloomberg CMCI Brent Crude Oil USD TR Index. Le nouveau Kick-In GOAL (symbole : KDHDDU) sur WTI Crude Oil offre quant à lui une alternative à un positionnement direct dans les sources d’énergie. Le produit en souscription est doté d’un coupon de 10,00% p.a. Le sous-jacent commence la période de 18 mois avec une marge de sécurité de 32,5%.

Face à la correction des prix de l’énergie observée au quatrième trimestre 2018, les membres de l’OPEP+ se sont entendus en décembre pour réduire la production de pétrole de 1,2 million de barils à partir de début 2019. Bien que le cours se soit ressaisi entre-temps, l’OPEP+ ne devrait pas relever la cadence pour l’instant, comme Khalid al-Falih, le ministre saoudien de l’énergie, l’a avoué dans un entretien avec l’agence Reuters. Le représentant du membre le plus influent de l’OPEP estime qu’il serait précipité de modifier l’accord avant la réunion du groupe en juin. Les membres de l’OPEP+ se réuniront les 17 et 18 avril à Vienne avant de se rencontrer à nouveau les 25 et 26 juin. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 11.03.2019).

UBS CIO GWM se penche actuellement sur une analyse de la demande sur le marché mondial du pétrole. Les experts constatent que la Chine a récemment importé pendant quatre mois consécutifs plus de 10 millions de barils de pétrole par jour. D’après CIO GWM, cette tendance pourrait se poursuivre. Alors que la consommation du plus gros importateur mondial ne cesse de croître, la production domestique n’a jamais été aussi basse depuis plusieurs années. Selon les analystes, la hausse des importations pourrait également s’expliquer par une éventuelle consolidation des réserves stratégiques. D’après CIO GWM, l’Empire du Milieu fait généralement office d’« éponge » en ce sens que la Chine absorbe les excédents de production et contribue ainsi à raréfier l’offre. Les experts ne partagent pas les craintes selon lesquelles la demande émanant des pays en voie de développement pourrait baisser en raison du ralentissement de la conjoncture. Au contraire, les craintes de ruptures d’approvisionnement liées aux sanctions américaines contre les membres de l’OPEP que sont le Venezuela et l’Iran devraient maintenir les besoins de la Chine à un niveau élevé. CIO GWM table sur une poursuite de la pénurie sur le marché du pétrole à l’échelle mondiale pour ce deuxième trimestre. Dans un tel contexte, le Brent pourrait grimper dans une fourchette de 70 à 80 dollars américains dans les mois à venir. (Source : UBS CIO GWM, Energy, « Crude oil: China’s sponge function », 11.03.2019)

Opportunités: Avec l’ETC (symbole : TCOCIU) sur l’UBS Bloomberg CMCI Brent Crude Oil TR, les investisseurs peuvent miser sur la hausse du cours du pétrole. Grâce au positionnement sur toute la courbe des futurs, le sous-jacent offre une plus grande diversification en termes d’échéances des futurs. Le processus de roulement CMCI optimisé est également utilisé – il peut réduire les effets négatifs dans une situation de contango. Actuellement, le Early Redemption Kick-In GOAL (symbole : KDHDDU) se base sur le contrat à terme WTI arrivant prochainement à échéance. Tant que ce contrat à terme n’atteindra ou ne passera pas en-dessous de la barrière de 67,50% du cours initial, le produit produira à l’échéance le rendement maximal de 10% p.a. En raison de la fonction « Early Redemption » il y a une possibilité de remboursement anticipé, y compris un coupon proportionnel. Pour ce faire, le prix du WTI Crude Oil doit fermer au niveau ou au-dessus de la fixation initiale lors d’une journée d’observation.

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Il peut y avoir des pertes avec l’ETC lorsque l’indice sous-jacent baisse. Si pendant la durée de l’investissement le cours du WTI du Kick-In GOAL atteint ou franchit une seule fois le Kick-In Level (barrière) et la fonction « Early Redemption » ne se produit pas, le contrat à terme doit remonter au moins au niveau du prix d’exercice à l’échéance. Dans le cas contraire, le remboursement sera réduit à hauteur du repli du prix d’exercice. Le coupon sera dans tous les cas versé. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Pétrole brut Brent (en dollars américains par baril) 5 ans¹

Après avoir atteint son plus haut niveau depuis environ quatre ans en octobre 2018, la tendance haussière du Brent a pris brusquement fin. Depuis le début de l’année, le baril de pétrole de la mer du Nord repart à la hausse.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 13.03.2019

UBS Bloomberg CMCI Brent Crude Oil TR Index : pondérations cibles des échéances

Comme souvent pour la méthodologie CMCI, l’engagement pour cet indice Brent s’étend sur toute la courbe des futurs. En moyenne, l’échéance des contrats à terme détenus s’élève à 0,81 an.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 13.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

ETC sur UBS Bloomberg CMCI Brent Crude Oil USD TR Index

Symbol TCOCIU
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent UBS Bloomberg CMCI Brent Crude Oil USD TR Index
Devise USD
Rapport de souscription 10:1
Frais de gestion 0.30% p.a.
Participation 100%
Echéance Open End
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask USD 91.95 / 92.45
 

10.00% p.a. Early Redemption Kick-In GOAL sur WTI Crude Oil

Symbol KDHDDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent WTI Crude Oil
Devise USD
Coupon 10.00% p.a.
Kick-In Level (barrière) 67.50%
Echéance 28.09.2020
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 27.03.2019, 15:00 h
 

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Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 13.03.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’387.43 Pt. -0.2%
SLI™ 1’447.05 Pt. -0.4%
S&P 500™ 2’810.92 Pt. 1.4%
Euro STOXX 50™ 3’323.87 Pt. 0.0%
S&P™ BRIC 40 4’289.27 Pt. 0.2%
CMCI™ Compos. 929.97 Pt. 1.0%
Gold (troy ounce) 1’309.30 USD 1.7%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 13.03.2019

Secteur du luxe
Swatch sous les feux de la rampe

Aujourd’hui a lieu la conférence de presse pour le bilan de Swatch. Alors que l’entreprise a déjà publié des premiers indicateurs pour 2018, les marchés attendent avec impatience les perspectives de la direction. L’Oréal et LVMH ont récemment brossé un tableau positif du marché du luxe mondial. UBS réunit comme sous-jacents les deux représentants français de la branche et Swatch pour un Callable Worst of Kick-In GOAL (symbole : KDGVDU). Le trio de luxe permet un coupon de 8,00% p.a. Cette opportunité de rendement s’accompagne d’un écart de la barrière de 40% initialement pour les trois actions.

En 2018, Swatch a vu son chiffre d’affaires grimper de 5,7% pour s’établir à 8,5 milliards de francs suisses. Au premier semestre, l’entreprise avait enregistré une croissance à deux chiffres mais les activités, en France et en Asie notamment, ont ensuite considérablement marqué le pas. Le bénéfice du groupe horloger a progressé de 14,8% pour se hisser à 867 millions de francs suisses. Swatch n’a toutefois pas répondu aux attentes des analystes. La direction semble satisfaite de ce début d’année et laisse entrevoir une croissance positive pour 2019. (Source : Thomson Reuters, revue de presse, 31.01.2019) La conférence de presse révèlera si le CEO Nick Hayek peut déjà concrétiser ces perspectives.

L’Oréal présente également son bilan 2018 aujourd’hui. Selon les chiffres provisoires, le fabricant de produits cosmétiques a signé la plus forte progression de son chiffre d’affaires depuis dix ans (+7,1%). Ses recettes ont affiché une croissance à deux chiffres en pourcentage dans le segment du luxe ainsi que dans le secteur moins développé des « Active Cosmetics ». Le groupe a enregistré un nouveau record en portant à 18,3% sa marge opérationnelle. (Source : L’Oréal, communiqué de presse, 07.02.2019) Du côté de LVMH aussi les activités ne se sont jamais aussi bien portées. En 2018, le groupe, dont le portefeuille compte entre autres les sacs Louis Vuitton, les montres Hublot ou encore les parfums Christian Dior, a généré une croissance organique de son chiffre d’affaires de 11%. Sa marge opérationnelle a augmenté de plus de 20%. (Source : LVMH, communiqué de presse, 29.01.2019)

Opportunités: Si l’action LVMH a manqué de peu de renouer avec son plus haut historique de l’an dernier, L’Oréal a battu un nouveau record. De son côté le groupe Swatch a récemment stagné.¹ Pour le Callable Worst of Kick-In GOAL (symbole : KDGVDU), une évolution latérale des trois actions suffirait pour atteindre le rendement maximal de 8,00% p.a., à condition qu’aucun des titres ne tombe au niveau ou en dessous de sa barrière pendant la période. L’émetteur dispose néanmoins d’un droit de résiliation auquel il peut recourir tous les trois mois à compter du 20 mars 2020.

Risques: les Worst of Kick-In GOALS ne bénéficient d’aucune protection du capital. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents atteint une seule fois la barrière respective («Kick-In Level») ou descend en dessous, et que la fonction de Callable ne s’applique pas, le remboursement à l’échéance par remboursement en espèces est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. De plus, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution des sous-jacents.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Swatch I vs. L’Oréal vs. LVMH
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 13.03.2019

8.00% p.a. Callable Kick-In GOAL sur Swatch I / L’Oréal / LVMH

Symbol KDGVDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230, Callable
Sous-jacent Swatch I /  L’Oréal / LVMH
Devise CHF (Quanto)
Coupon 8.00% p.a.
Kick-In Level (barrière)
60%
Echéance 22.03.2021
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 20.03.2019, 15:00 h
 

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Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 13.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

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Weekly Hits: Marché du pétrole & Secteur du luxe2019-03-19T08:35:04+01:00

Es geht Schlag auf Schlag

KeyInvest Blog

11. März 2019 – UBS Wochenkommentar Rück-/Ausblick

Es geht Schlag auf Schlag

In der vergangenen Woche stand Frankfurt im Mittelpunkt des europäischen Börsengeschehens. Dort reagierte die EZB auf die jüngste Konjunkturabkühlung und schickte den Euro zunächst auf Talfahrt. Ab morgen gehen die Blicke in Richtung London. Das britische Parlament stimmt erneut über den Austritt aus der EU ab. Sowohl für die Währungs- als auch die Aktienmärkte bergen die Resultate Brisanz.

Vor ziemlich genau vier Jahren hat Mario Draghi das neue Gebäude der Europäischen Zentralbank in Frankfurt eröffnet. Im Eingangsbauwerk zu Füssen der beiden 165 und 185 Meter hohen Bürotürme tritt der EZB-Präsident seither nach geldpolitischen Sitzungen vor die Presse. Am vergangenen Donnerstag, 7. März nahm sich Italiener knapp eine Stunde Zeit, um die jüngste Beschlusslage zu erläutern. „Die schwächeren Wirtschaftsdaten weisen auf eine beträchtliche Verlangsamung des wirtschaftlichen Aufschwungs hin“, brachte Draghi das Umfeld auf den Punkt. Folgerichtig haben die EZB-Ökonomen ihre Wachstumsprognose nach unten revidiert (siehe Grafik).

Die Zentralbank reagierte mit mehreren Massnahmen auf die makroökonomischen Bremsspuren. Dazu zählt unter anderem eine moderate Verschiebung der so genannten Forward Guidance: Die Zinsen im Euroraum sollen nun bis mindestens Ende Jahr nicht erhöht werden. Zuvor hatte der EZB-Rat das nur bis über den Sommer hinaus in Aussicht gestellt. Gleichzeitig kündigte Draghi ein neues „TLTRO“-Programm an (TLTRO steht für «Targeted longer-term refinancing operations»). Dabei handelt es sich um vierteljährliche Refinanzierungsgeschäfte für Banken. Sie sollen ab September mit dem Ziel ausgeben werden, die günstigen Kreditvergabekonditionen aufrecht zu erhalten. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 07.03.2019)

Eine optimistische Euro-Prognose

Der Euro reagierte prompt und gab am 7. März gegenüber dem US-Dollar um 1% nach.1 UBS CIO GWM hält das Potenzial für eine weitere Abwertung der Einheitswährung für begrenzt. Nach Ansicht der Experten waren die geldpolitischen Änderungen nicht so dramatisch, wie die Presseschlagzeilen unterstellen könnten. Als einzige kleine Überraschung wertet CIO GWM den frühen Zeitpunkt der Ankündigung des TLTRO-Programms. Das Chief Investment Office bleibt bei seiner positiven Prognose für den Euro: Auf Sicht von sechs Monaten liegt das Kursziel für das Währungsgespann EUR/USD bei 1.15 US-Dollar, während die Notierung in einem Jahr bei 1.20 Dollar stehen könnte. Dieses Szenario gilt sowohl für den Fall einer konjunkturellen Erholung als auch bei einem stärkeren Abschwung. Sollte das Risikoszenario wahr werden, hätte die US-Notenbank Spielraum für Zinssenkungen. Dagegen wäre die Munition der EZB für eine weitere geldpolitische Lockerung begrenzt. (Quelle: UBS CIO GWM, Thought of the day: „The potential for further euro weakness appears limited“, 08.03.2019)

Bereits am Tag nach der EZB-Sitzung drehte der Euro nach oben.1) Für Schwung sorgte der Arbeitsmarktbericht aus den USA. Dort sind im Februar ausserhalb der Landwirtschaft lediglich 20’000 neue Stellen entstanden. Analysten hatten im Schnitt mit 180’000 zusätzlichen Jobs gerechnet. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 08.03.2019) Jetzt warten die Märkte gespannt darauf, ob und wie die US-Notenbank auf dieses Zeichen der konjunkturellen Abkühlung reagiert. Am 19. und 20. März kommt der Fed-Offenmarktausschuss zu seiner nächsten Sitzung zusammen.

Ein weiterer Brexit-Showdown

Bevor der Blick in der kommenden Woche in Richtung Washington geht, rückt London in den Fokus. Am morgigen Dienstag stimmt das Parlament erneut über den von Premierministerin Theresa May mit Brüssel ausgehandelten Brexit-Vertrag ab. Sollte der Deal abermals durchfallen, könnte es am Mittwoch zu einem weiteren Votum kommen. Die Parlamentarier dürften dann darüber abstimmen, ob Grossbritannien die EU am 29. März ohne eine Vereinbarung über die künftigen Beziehungen verlässt. Es wird allgemein erwartet, dass sich die Mehrheit gegen eine chaotische Scheidung aussprechen würde. In diesem Fall dürfte wohl am Donnerstag die Abstimmung über eine Verschiebung des Brexits erfolgen. (Quelle: Thomson Reuters, Medienbericht, 09.03.2019)

Wachstumsprognose der Europäischen Zentralbank für das Euro-Währungsgebiet
(Entwicklung Bruttoinlandsprodukt in % gegenüber Vorjahr)

Stand: 07.03.2019; Quelle: Europäische Zentralbank

¹) Bitte beachten Sie, dass vergangene Wertentwicklungen keine Indikationen für künftige Wertentwicklungen sind.

Unternehmens- und Konjunkturtermine

Datum Uhrzeit Land Ereignis
12.03.2019 07:00 CH Geberit Jahreszahlen
14.03.2019 k.A. CH Swatch Bilanz 2018
14.03.2019 07:00 DE RWE Jahreszahlen
14.03.2019 07:30 DE Lufthansa Jahreszahlen
14.03.2019 08:30 CH Produzenten-/Importpreise
14.03.2019 13:30 US Detailhandelsumsätze Februar 2019
15.03.2019 11:00 EZ Konsumentenpreise Februar 2019
15.03.2019 14:15 US Industrieproduktion Februar 2019

Stand: 11.03.2019; Quelle: Thomson Reuters

Weitere Blogeinträge:

Ein Wechselbad der Gefühle

Gerade einmal 23 Zeilen umfasst das von der US-Notenbank am 2. November 2022 veröffentlichte geldpolitische Statement. Dieser kurze Text reichte, um die Börsen – quer durch die Anlageklassen – in Aufruhr zu versetzen. Während die Aktienkurse an der Wall Street nach unten drehten, wertete der US-Dollar deutlich auf.

Steigende Zinsen, gemischte Bilanzen und überraschendes Wachstum

Nicht kleckern, sondern klotzen: Das ist die Devise der Notenbanken in der gegenwärtigen Zeit. XXL-Zinsschritte stehen auf der Tagesordnung. Nachdem das Fed in den USA bereits drei Mal in Folge ihre Leitsätze um 0.75 Prozentpunkte anhob, folgt auch die EZB dem Federal Reserve auf einen steilen Weg.

Jede Menge Gesprächsstoff

Die Ereignisse überschlagen sich: In Italien trat am Wochenende die Regierung rund um die Rechtspopulistin Giorgia Meloni in Kraft, die ab jetzt die Geschicke des Landes leiten wird. Europa darf nun gespannt sein, welche Signale aus dem südeuropäischen Land kommen werden.

Es geht Schlag auf Schlag2019-03-11T11:43:38+01:00

Weekly Hits: Électromobilité & Un trio de sportifs

KeyInvest Weekly Hits

Vendredi, 08.03.2019

  • Thème 1: Électromobilité - En direction de Genève chargé à bloc
  • Thème 2: Nike / adidas / Under Armour - Un trio de sportifs

Électromobilité
En direction de Genève chargé à bloc

Genève ouvre cette semaine les portes de la 89e édition de son Salon international de l’automobile. Pendant onze jours, la Suisse romande accueillera les professionnels de la branche venus présenter leurs derniers modèles et l’électromobilité sera sous le feu des projecteurs. UBS participe depuis peu à la mutation du secteur automobile avec le PERLES (symbole : ECARSU) sur l’« Electric Car Beneficiaries Basket ». Ce produit offre la possibilité de miser de manière diversifiée sur les bénéficiaires potentiels de l’engouement suscité par l’électromobilité. Tesla, le pionner de la voiture électrique, Toyota et Volkswagen constituent la base de l’Early Redemption (ER) Kick-In GOAL (symbole : KANGDU). Pour le Barrier Reverse Convertible qui arrive à échéance en novembre, l’opportunité de rendement s’élève à 27,4%. Ce potentiel de gain s’accompagne d’un écart de la barrière de 34,5% pour Tesla, le Worst Performer actuel.

Les représentants des médias ont été invités à venir au salon deux jours avant l’ouverture officielle pour découvrir plus de 100 premières européennes et mondiales dévoilées par les 70 exposants. S’ils ont pu voir de nombreux modèles classiques puissants à l’image du « Bentayga Speed » de Bentley Motors, un SUV de 635 chevaux capable d’accélérer de 0 à 100 km/heure en moins de quatre secondes et d’atteindre une vitesse de pointe de 306 km/h, ils ont également pu admirer bon nombre de nouveautés, notamment des véhicules dotés de types de motorisation innovants comme la pile à combustible, mais aussi des voitures électriques et hybrides. Seat, la filiale de Volkswagen, expose par exemple son premier véhicule électrique. Le constructeur Volkswagen, quant à lui, montre dans une étude une variante totalement électrique de la légendaire Coccinelle Dune. De son côté, Toyota arrive en Suisse avec deux nouveaux modèles hybrides. Si le groupe nippon a équipé la Prius d’un système de traction intégrale intelligent, il a favorisé le confort et le design pour son modèle Camry. (Source : Geneva International Motor Show, communiqué de presse, 20.02.2019)

En revanche, les 660 000 visiteurs attendus ne trouveront pas de stand Tesla au salon. Le constructeur américain de voitures électriques n’est toutefois pas en reste puisque son CIO, Elon Musk, a annoncé sur Twitter peu avant le salon que son SUV, le modèle Y, serait présenté le 14 mars à Los Angeles. De part et d’autre de l’Atlantique, l’électromobilité progresse à grands pas avec les nouveautés à venir. L’industrie automobile allemande, pour ne citer qu’elle, compte investir plus de 40 milliards d’euros dans ce domaine au cours des trois prochaines années. Les constructeurs allemands souhaitent en même temps tripler leur offre de véhicules électriques qui compte à ce jour une centaines de modèles. (Source : Verband der Automobilindustrie VDA, communiqué de presse, 02.03.2019)

Opportunités: UBS Evidence Lab a ciblé ses recherches sur les bénéficiaires des tendances mondiales misant sur l’électromobilité. À l’issue de cette analyse, une commission spécialisée a identifié huit entreprises prometteuses dans le secteur de la sous-traitance. Ces entreprises composent l’« Electric Car Beneficiaries Basket ». La liste comprend des sous-traitants tels que Aptiv, Continental et Valeo ou encore des fabricants de semi-conducteurs comme Infineon et Intel. Le PERLES (symbole : ECARSU) reproduit fidèlement le panier d’actions. Une évolution stable des cours de Tesla, Toyota et Volkswagen suffit pour dégager un rendement de 27,4% avec l’ER Kick-In GOAL (symbole : KANGDU), à condition qu’aucun des titres ne tombe au niveau ou en dessous de sa barrière. Étant donné que le trio de constructeurs automobiles s’est replié depuis l’émission du produit, le Kick-In GOAL cote nettement en dessous du pair. Si les trois sous-jacents venaient à remonter et atteindre ou dépasser le niveau du Strike lors d’un jour d’observation, la fonction Early Redemption deviendrait exigible. Dans ce cas-là, les investisseurs se verraient rembourser le nominal et le pro rata du coupon par anticipation.

Risques: les produits présentés n’offrent pas de protection du capital. Une évolution négative de l’actif sous-jacent entraîne des pertes correspondantes pour le PERLES. Si, pendant la durée de l’investissement, un des sous-jacents du Worst of Kick-In GOAL atteint une seule fois le niveau de sa barrière («Kick-In Level») ou descend en dessous, et que la fonction de remboursement anticipé ne s’applique pas, le montant remboursé en espèces à maturité par amortissement est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Aptiv vs. Continental vs. Valeo
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Les équipementiers automobiles Aptiv, Continental et Valeo sont impliqués dans le développement de l’électromobilité et font par conséquent partie des titres qui composent l’« Electric Car Beneficiaries Basket ». Le trio a finalement grimpé en bourse.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 06.03.2019

Tesla vs. Toyota vs. Volkswagen VZ
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Sur cinq ans, le constructeur de voitures électriques Tesla s’est démarqué des constructeurs de masse Toyota et Volkswagen. Malmené par le scandale du diesel, Volkswagen est le seul titre du trio à avoir perdu des plumes.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 06.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

PERLES sur Electric Car Beneficiaries Basket

Symbol ECARSU
SVSP Name Tracker Certifikat
SVSP Code 1300
Sous-jacent Electric Car Beneficiaries Basket
Devise CHF
Rapport de souscription 1:1
Frais de gestion 0.50% p.a.
Participation 100%
Echéance 26.09.2025
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask CHF 94.69 / 95.65
 

12.50% p.a. Early Redemption Kick-In GOAL sur Tesla / Toyota Motor / Volkswagen VZ

Symbol KANGDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230 (Auto-Callable)
Sous-jacent Tesla / Toyota Motor / Volkswagen VZ
Devise CHF (Quanto)
Coupon 12.50% p.a.
Rendement latéraux 25.97% (37.11% p.a.)
Kick-In Level (Distance) Tesla: USD 184.434 (33.23%)
Toyota: JPY 4’176.61 (36.66%)
Volkswagen VZ: EUR 98.648 (35.18%)
Echéance 22.11.2019
Émetteur UBS AG, London
Bid/Ask 85.55% / 86.55%
 

Vous trouverez davantage de produits UBS et des informations sur les opportunités et les risques à l’adresse ubs.com/keyinvest.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 06.03.2019

Apérçu du marché

Index Citation Semaine¹
SMI™ 9’403.16 Pt. -0.1%
SLI™ 1’452.24 Pt. 0.1%
S&P 500™ 2’771.45 Pt. -0.7%
Euro STOXX 50™ 3’324.67 Pt. 1.3%
S&P™ BRIC 40 4’282.27 Pt. 0.9%
CMCI™ Compos. 920.95 Pt. -1.0%
Gold (troy ounce) 1’287.60 USD -2.5%

¹ Changement basé sur le cours de clôture du jour précédent par rapport au cours de clôture de la semaine dernière.

SMI™ vs. VSMI™ 1 année

L’index VSMI™ est calculé depuis 2005. Il affiche la volatilité des actions inclus dans le SMI™ index. Pour la calculation, un portefeuille est utilisé qui ne réagit qu’au variations de la volatilité au lieu des variations des prix. En le faisant, la méthodologie du VSMI™ utilise la volatilité carré, connu sous le terme variance, des options sur le SMI avec 30 jours jusqu’à l’échéance négociées à la Bourse Eurex.

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 06.03.2019

Nike / adidas / Under Armour
Un trio de sportifs

Grâce à leurs solides résultats, les fabricants d’articles de sport américains Nike et Under Armour ont enfin pu marquer des points auprès des investisseurs. Les résultats d’adidas, en revanche, n’ont pas encore été communiqués. Le numéro 2 mondial présentera son bilan 2018 le 13 mars. C’est également à cette date que s’achèvera la période de souscription pour un Worst of Kick-In GOAL sur Nike, adidas et Under Armour. Ce produit libellé en dollar américain est doté d’un coupon de 11,00% p.a. Pendant la période de 12 mois, les sous-jacents disposent d’une marge de sécurité de 45%.

Nike, premier groupe mondial d’articles de sport, publie ses bilans en décalé et a donc déjà révélé ses résultats pour le deuxième trimestre de l’exercice fiscal 2019. Dans les trois mois qui ont précédé le 30 novembre 2018, le géant de la branche a signé des résultats supérieurs aux prévisions moyennes des analystes. La stratégie consistant à lancer plus rapidement de nouveaux produits tout en accélérant la collaboration avec des commerçants en ligne porte donc ses fruits. Aux États-Unis, Nike a augmenté son chiffre d’affaires en ligne de 41% pendant le trimestre. En Chine, le groupe a enregistré une croissance de 26,4% malgré le conflit commercial. (Source : Thomson Reuters, article de presse, 20.12.2018) Après la publication du rapport intermédiaire, l’action Nike a rapidement grimpé et la grande capitalisation a récemment atteint un pic historique.¹

Bien qu’Under Armour cote encore largement en dessous des records historiques, ce représentant de la branche américaine a finalement aussi connu une forte accélération.¹ Au quatrième trimestre 2018, l’entreprise a amélioré sa marge brute de 160 points de base et elle s’élève désormais à 45,1%. Si l’on fait abstraction des effets exceptionnels, Under Armour a gagné 0,09 dollar américain par action. En moyenne, les analystes tablaient sur une marge inférieure à 45% et sur un excédent de seulement 0,04 dollar américain par action. (Source : Thomson Reuters, article de presse, 12.02.2019) Les observateurs de la branche attendent maintenant avec impatience le bilan d’adidas. Le groupe bavarois historique présentera ses résultats le 13 mars, soit seulement huit jours avant que l’entreprise au célèbre logo « Swoosh », Nike, ne présente son bilan du trimestre suivant.

Opportunités: Le Worst of Kick-In GOAL (symbole : KDFTDU) arrive donc sur le marché à une période riche en évènements pour le secteur. Toutefois, les actions de Nike, adidas et Under Armour ne doivent pas nécessairement se donner à fond pour que le produit rapporte un rendement maximal de 11,00% p.a. à la date du rachat. Ce qui compte, c’est qu’aucun des trois sous-jacents n’atteigne ou ne descende en dessous de la barrière fixée à 55% du cours initial pendant la période des 12 mois.

Risques: les Kick-In GOALs ne bénéficient d’aucune protection du capital. Si, pendant la durée de l’investissement, l’un des sous-jacents atteint une seule fois la barrière respective (« Kick-In Level ») ou est inférieur à celle-ci, le remboursement par amortissement en espèces à l’échéance est basé sur la performance la plus faible (base Strike) du trio (au maximum toutefois à la valeur nominale majorée du coupon). Dans un tel cas, des pertes sont probables. Par ailleurs, avec les produits structurés, l’investisseur supporte le risque d’émetteur. Cela signifie qu’en cas d’insolvabilité d’UBS SA, le capital investi peut être perdu, indépendamment de l’évolution du sous-jacent.

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Nike vs. adidas vs. Under Armour
(5 ans, aux fins d’illustration uniquement, données en %)¹

Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 06.03.2019

11.00% p.a. Worst of Kick-In GOAL sur Nike / adidas / Under Armour

Symbol KDFTDU
SVSP Name Barrier Reverse Convertible
SPVSP Code 1230
Sous-jacent Nike / adidas / Under Armour
Devise USD (Quanto)
Coupon 11.00% p.a.
Strike Level 100%
Kick-In Level (Barrière)
55%
Echéance 13.03.2020
Émetteur UBS AG, London
Date de fixation du prix 13.03.2019, 15:00 h
 

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Source: UBS AG, Bloomberg

Valeurs du: 06.03.2019

¹) La performance passée n’indique pas les résultats futures.
²) Les condition des ETTs sont vérifiés annuellement et peuvent être ajustées avec un délai de 13 mois après la publication.

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